1. Petite fixation anale dans un cadre professionnel (2)


    Datte: 24/06/2017, Catégories: fh, Collègues / Travail Oral

    Bon, je vous préviens tout de suite, je ne suis pas particulièrement fière de cette histoire mais, avec un peu de recul, je la trouve quand même amusante. E est mon collègue depuis un peu plus de deux ans, je crois. Personnage assez insignifiant dans l’entreprise - quel est son poste exact ? - avec un physique que je qualifierais de « misérabiliste », E avait pour lui d’être un gars sympa, poli et ne cherchant jamais les coups tordus, professionnellement parlant - peut-être par manque d’ambition ? - Finalement, le plus désagréable chez lui, c’était son petit côté pervers : toujours à mater les filles de la boîte de manière grossière. Vraiment, parfois, j’avais l’impression qu’il bloquait carrément sur certaines parties choisies de mon corps. C’est un peu lourd mais c’est le cas de tellement d’hommes qu’on ne peut pas vraiment lui en tenir rigueur. Ce jour-là, il est vrai, j’étais d’ailleurs habillée de manière assez sexy, avec mon petit pantalon blanc de chez Zara, mon top basic H&M et un ensemble de lingerie Princesse Tam-Tam couleur crème. Quand E m’a croisée à la pause-déjeuner, j’ai cru un instant qu’il allait tomber à la renverse : il avait l’air tellement fasciné par ma chute de reins que j’en fus presque gênée. Mais enfin, j’étais de bonne humeur et ça m’a plutôt fait rire. Hasard des choses, dans le courant de l’après-midi, nous nous retrouvâmes tous deux dans le même ascenseur. Le regard qu’il porta sur moi était ostensiblement libidineux. Je crois qu’il ne s’en ...
    ... rendait même pas compte : c’était pathétique… Moi, bonne poire - c’est ma nature, je suis trop gentille - ne trouvant rien à lui dire, j’ai fini par lui sourire. Tout porte à croire que dans son délire de puceau érotomane, il a pris ça comme le signe que j’étais folle de son petit corps glabre et chétif. Naturellement, il n’en était rien. Je sentais bien, cependant, qu’il cherchait à dire quelque chose, effort remarquable étant donné qu’il avait déjà du mal à avaler sa salive. Cette fois-ci, il me semblait vraiment apercevoir une bosse douteuse au niveau de son entrejambe. Il finit par balbutier quelque chose d’à peine audible où je crus comprendre : — Tu es vraiment bien habillée. Pouvait-on à notre époque faire une approche aussi ridicule ? Je parvins, en tout cas, à ne pas en rire. Au contraire, il se produisit alors dans ma psyché comme un déclic. À moins que ce ne fût quelque chose de purement physique? Bon, en tout cas, j’avoue, j’ai eu soudain une énorme pulsion sur ce pauvre petit "looser"sans intérêt. Alors que les portes de l’ascenseur s’ouvraient, j’essayais de me raisonner, de lutter contre mes instincts profonds, puis j’ai soudain lâchée prise : je lui ai emboîté le pas : — Tu connais le local d’archives du septième. Naturellement, il ne connaissait pas. J’ai l’ai attrapé par le bras. Vraiment, je ne sais pas ce qui m’a pris, j’étais comme possédée. Croyez-le, ça ne m’arrive que rarement. Lui semblait complètement dépassé par les événements. Une fois dans le local, ...
«123»