1. Petite fixation anale dans un cadre professionnel (2)


    Datte: 24/06/2017, Catégories: fh, Collègues / Travail Oral

    ... que je le prenne en bouche sans le toucher avec les mains ? De nouveau, il y eut un moment d’incertitude. De nouveau, il reprit l’initiative en me retournant contre les cartons. Je fus un peu étonnée mais ce n’était pas pour me déplaire. Il marqua un temps d’arrêt, pour reluquer ma croupe parfaite, j’imagine. Je me cambrai à plaisir. Il agaça un peu mon con et finit par y introduire son sexe. Pour tout dire, ses proportions, sans être ridicules, étaient tout juste dans la moyenne, et je ne sentis pas grand-chose : je résolus néanmoins d’attendre sagement qu’il ait fait sa petite affaire. Il en profitait d’ailleurs pour me pétrir les fesses en même temps, ce qui était plutôt détendant. C’est là que se produisit le dernier rebondissement de notre histoire. Je m’aperçus soudain qu’il s’était retiré sans raison apparente : avait-il joui sans même que je m’en rende compte ? Je ne crois pas. En fait, il s’agenouilla de nouveau, m’écarta les fesses et, très brusquement, se mit à me lécher. Il était difficile de parfaitement identifier la zone mais il me semblait bien qu’il s’appliquait méthodiquement à balader sa langue juste sur mon anus. A-t-on jamais vu ça ? C’est à peine si on se connaissait ! J’avoue que la surprise me laissa un instant sans réaction. Puis, quand j’allais me dégager de cette étreinte, somme toute déplacée, il glissa un ...
    ... doigt dans mon sexe tout en massant énergiquement mon clitoris. Je perdis aussitôt pied et commençai à haleter. Mon dieu ! Naturellement, sa langue continuait de se promener allégrement entre mes fesses. Le mélange des sensations était indistinct et terriblement agréable. Je revins un peu à moi lorsque je sentis son doigt se glisser dans mon cul : à ce moment-là, de toute façon, je ne pouvais plus rien refuser, au contraire, je voulais tout, et plus encore. Je me cambrais, m’offrais comme une chienne. Mon orgasme fut hyper violent : je m’en mordis la lèvre jusqu’au sang puis finis par choir sur le sol, vidée de toute énergie. Après, j’étais un peu dans les vapes. Je ne sais plus trop ce qui s’est passé. Avons-nous échangé quelques banalités ? – C’est possible. Tout ce dont je me souviens vraiment c’est de la confusion de mes sentiments. J’étais à la fois honteuse et plongée dans une extrême volupté. Je sais bien qu’il ne faut pas se poser trop de questions, surtout en matière de sexe, mais j’avais quand même du mal à ne pas m’interroger sur mon comportement. Pourquoi lui ? Là ? Maintenant ? Aujourd’hui encore, quand je regarde E, je me demande ce qui a bien pu me prendre, comment j’ai pu faire ça avec lui. J’évite de le croiser. En même temps, je crois que s’il me demandait de remettre ça, j’aurais du mal à refuser. Allez comprendre ! 
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