La sellette de Tannhäuser - Histoires de Sexe

La sellette de Tannhäuser

... d’elle, aussi n’eut-elle aucun mal à m’attraper la queue et m’amener devant sa grotte intime. Elle écarta d’elle-même les lèvres de son sexe, avant de me pousser littéralement en elle. — Cela, vous l’avez déjà fait, sans quoi vous n’auriez pas eu d’enfant… Les deux filles étaient aussi effarées que moi, mais pas pour les mêmes raisons. — Mais ici, sur la table, et pas dans le lit ? Mon défunt mari ne me prenait qu’à cet endroit.— Le mien aussi, ajouta Claudia.— Ben justement, c’est sans doute parce que ce n’est pas dans le lit que c’est infiniment meilleur. Les deux filles n’en revenaient pas. Moi non plus, d’ailleurs, mais une fois de plus, les raisons n’étaient peut-être pas tout à fait les mêmes… — Et dès qu’il était en moi, il ne cessait de me bourrer vite, vite, comme le font les chiens…— C’est ce qu’il faut essayer d’empêcher, justement. Qu’il bouge, oui, mais pas trop vite… Interloqué, j’étais resté immobile, et c’est Pétra qui m’intima l’ampleur du mouvement de va-et-vient qu’elle désirait, et surtout la cadence qu’elle souhaitait. — Si vous le faites bien, à un moment, il va s’arrêter pour reprendre son souffle, c’est obligé. Profitez-en pour serrer alors votre chatte aussi fort que vous le pouvez autour de sa queue, il adorera… Ce disant, elle venait justement de serrer l’étau de chair qui était le sien autour de ma queue gonflée à l’extrême. Je ne pus retenir un petit cri de surprise. — Moi aussi, ça me plaît, tu ne peux pas savoir, me dit-elle. Mais il ne faut ...

... pas que tu jouisses tout de suite… Elle se recula alors, me désemboîtant d’elle. Comme je m’en doutais, l’une des filles vint prendre sa place, et je me retrouvai tranquillement en train de bourrer Silvia, qui semblait particulièrement apprécier le traitement. Moi aussi, j’avoue. Son sexe était loin d’être aussi serré que celui de Pétra mais elle en jouait quand même très bien, et surtout, j’avais l’impression d’entrer et de sortir d’un pot de miel. Claudia n’était pas mal non plus, dans le genre, pas non plus très étroite mais redoutablement musclée de l’intérieur et surtout, elle avait réussi à passer ses longues jambes dans mon dos et se tenait à moi. — Fais-lui le bilboquet, comme tu me fais à moi… L’une des raisons pour lesquelles je souris était qu’elle venait d’utiliser le nom d’un objet qui ne serait inventé que quelques siècles plus tard. La blonde n’était pas très lourde – en fait, la plus pesante des trois devait être Silvia qui ne devait pas arriver à cinquante kilos – aussi commençai-je à la promener tout autour de la pièce, embrochée jusqu’à la garde sur mon pieu. À chaque pas que je faisais, sa chatte semblait se crisper sur ma queue, et il me fallut une bonne dose de self-contrôle pour ne pas envoyer la purée tout de suite. J’en avertis Pétra, qui se mit à rire. — C’est entendu, on arrête. Pis c’est mon homme, quand même… Mais je vais vous montrer quelque chose d’autre. De nouveau, elle s’agenouilla devant moi, reprenant une magistrale fellation comme elle seule ...