La sellette de Tannhäuser
Datte: 14/10/2019,
Catégories:
f,
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fffh,
fbi,
hplusag,
frousses,
religion,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
historique,
délire,
fantastiqu,
... à côté de ce que Pétra avait prévu. Lorsqu’elle sortit de la salle de bains, elle avait également ôté sa robe, et je me retrouvais le plus simplement du monde entouré de trois jolies filles, toutes aussi nues les unes que les autres. Pétra s’approcha de moi, et sans un mot retira la chemise que je portais et défit le nœud de mon pantalon. Il y avait un bail que j’avais laissé tomber le jean et le tee-shirt pour des vêtements en lin comme les autres villageois en portaient, essentiellement pour ne pas attirer l’attention d’un éventuel étranger. Avant même que mon froc ne soit au sol, elle s’était agenouillée devant moi, et avait déjà pris mon sexe entre ses mains. — Regardez bien, maintenant, dit-elle aux deux autres. Ce faisant, elle me caressait doucement les bourses, flattait avec la même délicatesse ma queue qui, presque involontairement, se redressa. Ensuite, elle commença un lent mouvement de va-et-vient, me décalottant à chaque allée et venue. — Allez-y doucement, ça peut lui faire mal. Allez, à vous. Et là, sans que j’aie le temps de comprendre, Claudia et Silvia étaient à mes pieds et commencèrent elles aussi à me branler avec application. La surprise fut à la hauteur de l’intensité de la chose, d’autant que cela ne dura que quelques minutes à peine. — C’est pas mal, ça… Bon, poussez-vous, on continue. Cette fois, elle passa sa langue sur le bout de mon gland, et le lécha amoureusement comme s’il s’agissait d’un sucre d’orge un peu particulier. Sa langue s’enroulait ...
... langoureusement autour de ma bite dressée, léchait la hampe, le bout revenait me titiller le méat, tandis que ses mains ne restaient pas immobiles, malaxant d’une main mes couilles et imprimant de l’autre d’amples va-et-vient à mon sexe dressé. Puis elle fit coulisser sa bouche autour de ma verge tendue à l’extrême, et il me sembla alors qu’elle m’engloutissait à chaque fois plus profondément. Et pendant ce temps, les autres filles, toutes proches, n’en perdaient pas une miette… — Vous avez vu comme il faut s’y prendre ? À vous, maintenant. Ce fut la blonde qui s’y colla la première. Elle me lécha tout d’abord un peu maladroitement, avant de m’emboucher complètement. Là, ce ne fut pas la même musique, elle s’y entendait pour faire courir sa langue sur mon gland sans pour autant le sortir d’entre ses lèvres. Elle s’arrêta bien vite, juste le temps pour Silvia de prendre sa place. Elle aussi manquait de pratique mais elle était visiblement très douée, et surtout, surtout, extrêmement motivée. J’avais très envie de m’en aller, mais en même temps la curiosité, le désir et le reste se mêlaient en moi, et je ne disais mot. J’avais l’impression que Pétra donnait un cours de pipe à ses amies, et que j’étais l’instrument dont elles avaient besoin. La situation avait un côté assez surprenant, mais il aurait fallu être bien bête pour protester. La situation prit soudain une autre tournure quand ma compagne s’assit sur la table, écartant outrageusement les jambes. J’étais juste à côté ...