La sellette de Tannhäuser
Datte: 14/10/2019,
Catégories:
f,
fh,
ff,
ffh,
fffh,
fbi,
hplusag,
frousses,
religion,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
historique,
délire,
fantastiqu,
... peut aussi de ce côté ? Tu parles que c’était possible ! En plus, si la première sodomie de Pétra ne remontait tout au plus qu’à une semaine, j’avais très vite remarqué qu’elle était assez friande de cette pratique, même s’il était bien entendu que je n’allais pas m’amuser à la prendre de la sorte et à cet endroit brutalement et surtout sans préparation. J’allais et venais tout doucement dans son rectum, et exactement comme je l’avais prévu, elle commença à geindre doucement, au rythme de mes coups de queue. J’accélérai alors la cadence, sans forcer, et je m’enfonçai voluptueusement au fond de ses reins. Je savais qu’elle aimait cela, même si nous n’étions pas ensemble depuis très longtemps, elle avait déjà eu l’occasion de me le montrer… Et comme s’il était possible que j’aie encore un doute, elle se cabra alors un peu plus pour que je la pénètre encore plus loin, les seins posés cette fois complètement sur le bois, tandis qu’elle s’accrochait à la table comme un bigorneau à sa falaise pour ne pas glisser à chacun de mes coups de pilon. Les deux filles n’en croyaient toujours pas leurs yeux, tandis que je continuai de labourer consciencieusement les reins de Pétra. Même si notre relation n’était que très récente, je savais que ses petits cris aigus étaient annonciateurs d’un orgasme imminent, aussi décidai-je de faire en sorte qu’il soit encore plus dévastateur qu’à l’accoutumée. Pour y parvenir, je me penchai sur elle, passant ma main sous son ventre pour atteindre son ...
... sexe, et plus précisément son bouton d’amour. Je n’eus qu’à le presser doucement quelques instants, mon sexe toujours aussi fortement enfoncé dans son fondement, et elle partit alors dans une longue plainte tandis que tout son corps se crispait sous le coup de la jouissance. Je me retirai alors vivement d’elle, éjaculant de longues giclées de foutre sur son adorable petit cul. La tempête se calma enfin, et je revins sur terre. Pétra aussi revenait dans l’atmosphère, et toujours avec cet incroyable naturel qui la caractérisait, elle prit un peu de ma semence sur le bout de ses doigts pour la montrer aux deux autres. — C’est de cela dont il faut se méfier. C’est quand vous en avez dans votre chatte que vous risquez d’avoir un enfant, ce qui serait ennuyeux si vous n’avez pas de mari. Pour le reste, vous ne risquez rien, si ce n’est d’avoir beaucoup de plaisir. Heureuse époque, si j’ose dire, compte tenu de conditions matérielles et sanitaires exécrables, mais où le SIDA n’existait pas. — Et sinon, c’est bon, gouttez donc… Et devant mes yeux ébahis, je vis ces deux filles récolter avec moult précautions la semence que je venais à peine de déverser sur le cul de ma partenaire et la porter à leurs lèvres. — En fait, je ne trouve pas ça terrible… dit l’une.— Moi non plus, ajouta l’autre.— En fait, le principal, intervint Pétra, c’est de faire plaisir à celui avec qui vous faites l’amour. Après, savoir si c’est bon ou pas, ce n’est qu’affaire de goût. J’avais à peine repris mon souffle ...