1. La sellette de Tannhäuser


    Datte: 14/10/2019, Catégories: f, fh, ff, ffh, fffh, fbi, hplusag, frousses, religion, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, historique, délire, fantastiqu,

    ... Cependant, je n’étais pas vraiment pressé, mais cela allait nous permettre d’être ensemble sans que personne n’y trouve trop à redire. Logiquement, et surtout à cette époque, il était hors de question que deux tourtereaux, fussent-ils fiancés, vivent ensemble, mais entre le fait qu’elle était veuve, et donc avait déjà été mariée, que cela faisait quelque temps qu’elle habitait avec moi – officiellement en tant que servante, cela allait éviter lesjaseries dont je n’avais certes que faire mais qui auraient pu remontrer au château, ce à quoi je ne tenais pas. Pour vivre heureux, vivons cachés, cette devise ne datait peut-être pas du Moyen-Âge, mais elle était déjà valable et le serait encore pour quelques siècles à coup sûr. Mais en attendant, cela me permettait de prendre la main de ma dulcinée et de danser avec elle sans que personne n’y trouve à redire, même si, honnêtement, il y en avait un bon paquet qui ne savait plus déjà depuis un bon moment où ils habitaient et qui était la femme de qui. Entre le fait que mon stock d’aspirine n’était pas extensible et que je préférais le garder pour des cas vraiment graves, j’aurais méchamment intérêt à trouver une recette de grand-mère au fond de mon disque dur pour soigner les gueules de bois qui ne manqueraient pas de se multiplier le lendemain. Tandis que nous dansions, Pétra me fit remarquer avec un grand sourire le petit manège de deux filles que nous connaissions bien. — Regarde, Claudia et Silvia sont venues chez nous parce ...
    ... qu’elles avaient peur de ne pas savoir quoi faire si d’aventure elles se faisaient enlever par les soldats. Eh bien, quelque chose me dit que si ça continue, il va être curieux, ce viol… À une quinzaine de mètres de là où nous étions, dans un recoin plutôt sombre, les deux commères étaient toutes deux dans les bras d’un de ces gars de la garnison, et visiblement cela se passait plutôt bien. Pourtant, si nous les voyions, d’autres auraient très bien pu les apercevoir, mais cela ne semblait pas les gêner. Ils s’embrassaient à pleine bouche, et les mains des hommes ne restaient pas inactives sur les formes des filles. L’une d’elles, il me semblait d’ailleurs que c’était Claudia, avait la jupe retroussée assez haut et l’homme devait avoir trouvé son point sensible, à la façon dont elle se cambrait, tandis que l’autre, complètement dépoitraillée, appréciait visiblement ce que son partenaire faisait à ses seins. Leurs petits jeux s’arrêtèrent soudain, juste le temps pour elles de remettre un peu d’ordre dans leurs tenues, puis de s’éloigner quelque peu, tenant leurs amoureux par la main. Pétra me tira alors par la manche. — Tu viens ? J’ai envie de voir comment elles vont se débrouiller. Même si je la suivis sans rien dire, je n’avais pas tellement envie d’aller mater les deux filles. Par contre, me retrouver seul avec ma dulcinée par une belle nuit d’été me branchait bien davantage… De toute façon, Claudia et Silvia prirent des chemins différents, et Pétra décida alors de suivre la ...
«12...343536...60»