1. Un enchaînement de circonstances


    Datte: 14/10/2019, Catégories: fh, fdomine, facial, Oral hdanus, sm, hsoumisaf, Masturbation

    ... incomplète ?— Mais enfin Sally, c’est toi-même qui m’as écrit que tu n’avais jamais eu de relation sérieuse avec un homme !— On parlera de ça plus tard… tout ce que je voulais, c’est t’expliquer pourquoi Marc était mon ami. C’était un homme bien, David. Il relâche lentement ma main. Je lui jette un coup d’œil enjôleur, puis sans crier gare, le saisis aux parties. — Hey, que fais-tu ? proteste-t-il. On parle de choses sérieuses, là…— Oui, je suis tout à fait sérieuse. Tu es… dur, mon tendre ami. Très dur. Il fait une drôle de tête, et j’éclate de rire. — Espèce de sorcière… marmonne-t-il d’une voix très basse. Et il m’embrasse. J’entrouvre mes lèvres pour recevoir la suavité de sa langue, qui conquiert ma bouche comme un sauvage enfonce les portes d’une église. Le voilà dans mon premier sanctuaire, je vais bientôt faire des prières tant ce baiser me transporte. Le paradis n’est pas loin… je guide doucement sa main entre nos deux corps pour qu’il me caresse… l’autre sanctuaire. C’est ça. Le paradis. Je décolle légèrement ma bouche de la sienne… il ouvre les yeux. Ceux-ci sont voilés de désir comme jamais je ne les ai vus. L’excitation monte en moi comme une puissante marée, incontrôlable. — Je savais bien que tu ne m’avais pas emmené ici uniquement pour me montrer le vestiaire, murmure encore David, tandis que, ma main dans la sienne, je l’entraîne imperceptiblement vers le couloir que nous venons de quitter.— Viens, David… laisse-toi faire…— Sally, qu’as-tu l’intention de… ...
    ... Je souris, sans le regarder. Nous marchons à nouveau sur l’épaisse moquette qui étouffe nos pas… j’ouvre la première porte noire. David hésite. — Viens, répété-je. Aie confiance en moi… Il regarde la pièce. Elle est plongée dans l’obscurité. Il ne doit distinguer que le pied du lit. — Sally… reprend-il, incertain. J’ouvre de grands yeux innocents. — Tu es tellement curieux, David. Il faut bien t’instruire un peu. Et n’oublie pas : tu m’as appelée « chérie », tout à l’heure… tu as donc confiance en moi. Le commissaire, ayant l’expression d’un homme à qui on a glissé une horloge toute ronde dans les fesses, me fixe d’un œil décontenancé. — Je ne me souviens pas t’avoir appelée « chérie », Sally…— Ah… je vois… tu me traites de menteuse ? Sa respiration s’accélère. Dérouté, il cherche mon regard. Sa main est moite dans la mienne. Chacun son tour. — Tu as peur, David ? susurré-je.— Non, voyons. Tu es toute petite.— Alors… entre donc. Je franchis le seuil, traînant derrière moi sa main, son bras, et maintenant son corps entier tel un boulet que je hâle sur un quai. La porte se referme derrière nous… nous voici dans le noir complet. Connaissant la topographie exacte de la chambre, je guide ma victime jusqu’au lit, où elle s’allonge dans un halètement de peur et d’excitation mêlées. — Sally… balbutie David. Ah, fait moins le fier, le poulet ! Je refoule un fou-rire, à grand peine. — Donne-moi tes poignets… Pendant une seconde, je crois qu’il ne va pas m’obéir. Puis je sens ses doigts ...
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