Un enchaînement de circonstances
Datte: 14/10/2019,
Catégories:
fh,
fdomine,
facial,
Oral
hdanus,
sm,
hsoumisaf,
Masturbation
... tâtonner dans le noir pour s’accrocher aux miens. Ayant déjà saisi ce que je voulais juste avant, je n’ai plus qu’à refermer les menottes sur ses poignets, dans un clic-clac qui résonne dans le noir. — Sally !— Tu avais très bien entendu le cliquetis de la chaîne, David. Tu savais.— Je t’en prie… que vas-tu faire de moi ?— Tu es désormais attaché au mur par un système de chaînes et de menottes. Tu as toute la nuit pour regretter de m’avoir arraché les vers du nez, et m’avoir traitée de menteuse.— Mais enfin, Sally ! Je…— Tu voulais connaître mon univers, David. Tu as dit que ça ne te gênait pas. Voyons voir…— Sally ! Reviens immédiatement ! Sally… chérie ! La porte se referme doucement derrière moi, tandis que je m’éloigne dans le couloir. * Alors ça… On ne me l’avait jamais fait. Je suis soudain envahi par un sentiment étrange, l’envie d’éclater de rire, et une panique quasiment incontrôlable. Le rire, parce que l’air de rien, elle m’a bien eu, du haut de son mètre soixante, avec ses yeux de biche, et sa voix caressante. Le rire aussi, à cause de la situation. Normalement, c’est moi qui passe ce genre de bracelets aux poignets de zozos un peu plus coriaces que cette douce créature. Chapeau la Miss… Tu ne perds rien pour attendre, mais bien joué quand même. La panique, parce qu’une petite voix à l’intérieur de ma tête me chuchote insidieusement : Fais gaffe David, ce n’est peut-être pas un jeu. Peut-être que cette fois, ton instinct t’a trompé. Cette gonzesse est peut-être ...
... totalement fêlée… Imagine qu’elle ne revienne pas et que ce soit le gros black de l’entrée qui se pointe à sa place, hein ? Tu feras quoi ? Déjà d’homme à homme, le mec a l’air plus balèze que toi… alors avec tes poignets dans les pinces, tu vas t’y prendre comment ? Je respire trois fois bien profondément, et je fais le point sur la situation. Bon… Ouvrir des menottes, c’est à la portée du premier flic venu. Il suffit d’une tige de métal du genre trombone ou épingle à cheveux. Au pire, une allumette suffit si on sait bien s’y prendre, et des allumettes, j’en ai toujours au fond des poches de mon blouson. Des trombones aussi… Mais dans les poches de mon futal. Plus compliqué à attraper. Cela dit, tant que les mains ne sont pas menottées dans le dos, ça reste assez aisé… J’évalue qu’au prix de quelques contorsions adéquates, il me faudra environ cinq minutes pour me sortir de là. Si elle m’avait attaché aux barreaux du lit, ce serait plus compliqué, mais avec les chaînes fixées au mur, j’ai assez de mou… Donc, pas de souci. Mais… Il reste quand même une forte probabilité que tout cela ne soit qu’un jeu. Un jeu étrange, bizarre, limite malsain, auquel je n’ai jamais joué, mais finalement sacrément excitant. Bien obligé de reconnaître que je bande comme un fou, et que je commence à me sentir à l’étroit dans mon calbut. Qu’est-ce qui se passe, bordel… Qu’est-ce qu’elle est en train de me faire ? Je me rappelle alors d’une fille que j’avais rencontrée quelques années auparavant… ...