1. Un enchaînement de circonstances


    Datte: 14/10/2019, Catégories: fh, fdomine, facial, Oral hdanus, sm, hsoumisaf, Masturbation

    ... petite lumière rouge vient de s’allumer. «Fais attention à toi Nolant, cette femme s’apprête à t’embarquer dans un truc de fou. » * Le trajet dans la voiture se passe dans un silence songeur. Appuyée contre la portière, je regarde d’un air absent les lumières de la ville défiler à travers la vitre. De temps à autre, je jette un coup d’œil furtif au profil de David. Depuis que nous sommes sortis du restaurant, je brûle de lui poser certaines questions… très orientées. Pourtant, je ne suis pas sûre de vouloir entendre ses réponses. Certains problèmes requièrent en même temps toute mon attention, et les pensées se bousculent en moi à m’en ficher le vertige. Le suicide de Marc me colle la nausée. Je pousse un lourd soupir et me tourne vers David d’un air décidé. — Écoute, je vais te confier quelque chose, David. J’espère simplement que tu vas comprendre. Il me lance un regard inexpressif. — J’ai besoin de me garer ? demande-t-il simplement.— Non… tourne à droite au prochain feu, s’il te plaît… voilà, maintenant tu files jusqu’au bout de l’avenue…— Hum… Sally…— Oui ? Là, à droite.— Où veux-tu m’emmener ?— Tourne à gauche maintenant… voilà… et tu files encore… et c’est là. David freine brutalement. Il m’observe d’abord, quelques secondes, et je soutiens son regard. Puis, la figure dubitative, il se penche et lorgne à travers le pare-brise la petite rue grise aux volets fermés. — Et ?— Gare-toi… intimé-je d’une voix douce. Il trouve une place non loin de là. — Suis-moi. Je sors ...
    ... brutalement de la voiture, claque la portière et me dirige résolument vers une petite entrée sombre, à la porte étroite, au bout d’un long bâtiment d’apparence tout à fait banale. En réalité, si je semble si déterminée, c’est parce que j’ai peur de flancher. J’ai pris une décision… maintenant il faut que je m’y tienne. Sans même jeter un coup d’œil sur David, toujours dans la voiture, je frappe quelques coups légers sur le battant. Il gèle, et je me dandine d’un pied sur l’autre. Je me retourne enfin, et croise le regard de David à travers le pare-brise. Il semble toujours se méfier. Foutus travers de flic. Excédée, je lui fais signe de venir. Avec réticence, il sort lentement du véhicule et me rejoint. Le froid pénètre le fin tissu de ma robe de dentelle noire, et je souffle sur mes mains… puis je frappe à nouveau. Enfin, la porte s’ouvre. Un grand black dans l’embrasure, l’air peu amène. En me reconnaissant, son visage s’illumine instantanément et il plonge sur moi. — Lucie ! s’écrie-t-il en me serrant brusquement contre lui à m’étouffer. Du coin de l’œil, je remarque David qui semble se détendre un peu… j’avais donc bien deviné qu’il allait se jeter contre Famara pour « me sauver du grand méchant black ». Les hommes… tous les mêmes. — Salut Famara…— Putain Lucie… ça fait tellement longtemps ! Je me demandais comment tu allais… Il me décolle enfin de sa large poitrine, et mes talons retrouvent le contact dur du trottoir. Je me tourne légèrement vers David, qui est resté un peu ...
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