1. Un engin exceptionnel


    Datte: 09/09/2017, Catégories: fh, extracon, grossexe, chantage, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, ecriv_f,

    ... d’aller voir mon homme jouer au ballon. Le contact du cuir du siège sur mes lèvres lisses m’électrise encore plus. Heureusement que le chemin n’est pas long, sinon j’aurais tout trempé. Une fois arrivée, je me glisse au premier rang des gradins, avec le lot des supportrices, dont la plupart était chez moi hier soir. Nancy n’est pas là, tant mieux pour moi. Mon mari est sur le terrain et court partout et en tout sens. Je cherche désespérément des yeux mon cher Torsten, mais je ne le vois pas. En fait, on se trouve juste au-dessus du banc des remplaçants de « notre » équipe et c’est lorsqu’il se lève que je le vois enfin. Il attrape une bouteille d’eau et, tout en buvant, se tourne vers nous. Il m’aperçoit et me sourit, quand je le vois qui bloque et manque de s’étouffer. Je ne comprends pas tout de suite, mais je suis son regard et m’aperçois que, de là où il est, comme je suis en hauteur, il peut tout voir de mon abricot minutieusement taillé et entièrement dévoilé. Lorsque je me rends compte de la vision qu’il peut avoir, au lieu de fermer les cuisses, comme l’aurait fait n’importe quelle femme sage, je les écarte négligemment, en le fixant droit dans les yeux. Il rougit aussitôt et ne sait plus quoi faire. Il finit par se rasseoir, tout confus. Je me dis : « Un point pour toi, ma Steph ! » Le match se termine sur une victoire difficilement conquise par nos joueurs. Les hommes filent aux douches. J’avoue que j’aimerais bien aller y jeter un œil pour m’assurer de ...
    ... l’équipement des joueurs. Lors du traditionnel pot de l’amitié, j’embrasse rapidement et distraitement mon mari et vais me servir un verre de sangria. Au passage, je me frotte à Torsten qui, lorsqu’il se rend compte à qui appartiennent ces seins arrogants, ne sait encore plus où se mettre. Je me faufile de groupe en groupe et j’entends au passage l’opportunité qu’il me manquait : Nancy, qui était arrivée entre-temps, est en effet en train d’expliquer à Olivier, le capitaine, qu’elle ne pourra pas laver les maillots de l’équipe comme d’habitude, car leur machine est en panne. Olivier semble très embêté. Je saute dans la conversation et leur dis : — Si vous voulez, je peux le faire en attendant que votre machine soit réparée ! Olivier est tout surpris, car j’ai toujours refusé de prendre en charge leurs maillots puants de sueur. Me taper les matchs, passe encore ; faire la bonniche, non merci ! Mais là, j’ai une autre motivation, d’au moins vingt centimètres. — Torsten n’aura qu’à me les amener demain soir, Olivier rentre tard. On boira un verre pendant que ça tournera et il pourra les remmener pour que tu les fasses sécher au sèche-linge, car nous n’en avons pas. En une heure, c’est bouclé ! Olivier est ravi de cette solution et Nancy se sent rassurée que le problème soit réglé sans qu’elle perde le contrôle de cette tâche qui la rend utile. Le lendemain soir, je suis excitée comme une puce. J’ai passé la journée à préparer la soirée. Je me suis apprêtée au mieux : une robe noire légère, ...
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