Un engin exceptionnel
Datte: 09/09/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
grossexe,
chantage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
ecriv_f,
... fendue sur le côté et, bien entendu, rien en dessous. Des escarpins très hauts qui me font la jambe un peu plus longue et bien galbée. Quelques traits de maquillage, lumières tamisées. Je mouille déjà comme une fontaine à l’idée de ce qu’il va (enfin) se passer. À 19 heures pile, ponctualité allemande, Torsten sonne à la porte. Il porte une chemise blanche sur un pantalon en jean crème et, surtout, un énorme sac de linge. Je me rappelle maintenant pourquoi je n’ai jamais voulu m’en occuper. Il me dit timidement : — C’est pour les maillots.— Ah oui, viens, c’est par-là, lui réponds-je, en montrant le chemin du sous-sol où se trouvait notre machine. Une fois arrivés, je lui dis : — Pose le sac. Tu vas me passer les maillots et je les mettrai dans la machine. Il s’accroupit donc pour me passer un premier maillot. Je me penche volontairement à l’extrême, jambes tendues et légèrement écartées, pour enfourner le tissu dans le tambour frontal de la machine. Au deuxième maillot, je me retourne et le vois rougir d’un seul coup. Je fais mine de ne rien voir et continue mon manège. Après que nous ayons vidé le sac, je mets la machine en route, je me retourne vers lui et le provoque : — Mais qu’est-ce que tu regardes comme ça, espèce de cochon ? T’es encore en train de mater sous ma robe, comme au match hier ? Il est confus et bredouille des excuses. — Qu’est-ce que tu cherches ? Tu veux voir ma culotte ? Je lève le bas de ma robe et lui montre mon minou épilé, avec juste un petit ...
... triangle sur le haut du pubis. — C’est pas la peine, je lui dis. Tu vois, j’en ai pas. Va falloir te faire pardonner tes sales manières ! Sans qu’il ait le temps de réagir, je m’approche de lui, qui est toujours accroupi, le visage à hauteur de mon abricot, et lui dis : — Fais-lui un bisou pour te faire pardonner. Il bredouille encore quelques mots confus et ne sait que faire. — Tu veux que je dise à ta femme que tu me mates sans arrêt ? Allez ! Embrasse mon sexe et ça restera entre nous, lui lançè-je, en posant ma main sur sa tête et en l’approchant de mon sexe brûlant pour lui indiquer le chemin. Hypnotisé par la vision, il s’approche timidement et pose un léger baiser sur mon pubis. — Encore ! Et mieux que ça ! N’hésite pas à y mettre ta langue, cochon ! l’exhortè-je. Je sens déjà le jus de mon sexe commencer à couler le long de mes jambes tellement je suis excitée. Il avance de nouveau sa tête et pose plusieurs baisers à la suite. Enhardi par ma réaction, il pointe sa langue sur mes lèvres lisses. Ce contact m’électrise. Il continue à jouer de sa langue sur mon sexe, glisse entre les lèvres et remonte vers mon clitoris, dressé comme un petit sexe, qu’il décapuchonne. Cette langue chaude et humide sur mon sexe trop excité me provoque une décharge de plaisir inattendue. — C’est trop bon, continue… Torsten, à mes pieds, ne fait plus du tout le timide et, voyant que je lâche le contrôle, suite aux sensations qu’il me provoque, prend de l’assurance et empoigne mes hanches pour leur ...