1. Une vocation de pute


    Datte: 17/10/2019, Catégories: hh, hplusag, inconnu, prost, parking, boitenuit, Transexuels Oral confession, Gay

    ... lui masquant un peu les yeux, une moustache imposante, m’interpella : — Alors ma mignonne, tu cherches le mâle ? Ne joue pas les effarouchées, je suis persuadé que tu n’attendais que cela car je t’ai bien observée, petite allumeuse. Tu prends combien pour une pipe ? Je m’approchai, comme électrisée, me penchai à la portière de la voiture et lui répondis : — Trente euros la pipe, chéri ! m’entendis-je répondre sous l’emprise d’une envie irrésistible de jouer les putes. Il m’ouvrit la portière et je montai dans la voiture qui s’éloigna en direction du port Édouard-Herriot. J’étais très excitée mais je n’en menais pas large, un peu angoissée qu’il ne s’aperçoive que j’étais un travesti. Il me caressait les cuisses de sa main droite tout en conduisant. Il s’arrêta sur un parking désert et m’ordonna : — Tu vas me sucer comme une bonne petite pute. De sa main gauche, il défit sa ceinture et sa braguette, fit glisser son pantalon jusqu’à ses chevilles, et descendit son slip jusqu’à ses genoux, dévoilant un sexe épais et puissant. Il souffla d’une voie pressante : — Vas-y ! Suce-moi, ne te fais pas prier, petite allumeuse ! Tu vas goûter ce que c’est qu’un vrai mâle ! Je regardai ce sexe massif pendant entre ces jambes et me demandai si j’allais oser lui demander les trente euros. Je caressai ses couilles de ma main libre et décalottai la verge pour commencer à lui titiller le prépuce avec mes doigts, une odeur de fauve me saisit et m’excita en même temps. — Tu me donnes trente ...
    ... euros et je te suce comme une reine, dis-je d’une voix mal assurée, en proie à une grande excitation d’avoir osé assumer mon fantasme de faire la pute. Il me tendit à regret la somme en me disant : — Tu devrais t’habiller plus salope pour tapiner, mais tu m’excites quand même avec ton air d’adolescente sage. Je me mis à le besogner par des caresses buccales gourmandes et goulues, et il exultait : — Ah la salope ! Je savais que tu étais une vraie pute sous tes airs de petite ingénue. Il se mit à me titiller les seins et à me caresser. J’accélérai le rythme en le pompant avec plus d’ardeur, car je voulais terminer ma fellation avant qu’il n’ait l’envie d’explorer mon entrejambe, craignant sa réaction. Bientôt, il souleva ma robe, je guidai ses mains sur mes fesses pour les détourner de mon sexe. Aussitôt, il me pelota délicieusement le cul, et je continuai à m’activer pour parvenir à faire jaillir son nectar. En même temps qu’il éjaculait dans ma bouche sa main effleura ma bite. À ce contact inopiné, il réagit immédiatement en me repoussant des deux mains, empêtré dans son pantalon et son slip lui entravant les genoux, il ne put que s’exclamer : — Ma parole, t’es un travelo ! Rends-moi mon fric, connasse ! Il ne parvint pas à m’empêcher de m’extraire de sa voiture d’un bond et de franchir en un instant la distance séparant le véhicule du quai longeant le Rhône. Je m’enfuis sans demander mon reste, en courant sur le trottoir tant bien que mal avec mes sandales à talons. Je fis signe ...