1. Carine a un nouveau collègue


    Datte: 18/10/2019, Catégories: ff, couple, cocus, Collègues / Travail fépilée, Oral 69, init,

    ... des situations scabreuses… J’ai beaucoup de mal à me concentrer sur mon travail. Quand je rentre à l’appartement, elle est déjà là, comme d’habitude, et prépare le dîner. Elle se retourne, vient vers moi. Nous nous embrassons. À cet instant, sans connaître son récit, j’ai envie de continuer l’expérience, d’aller plus loin… — Raconte-moi…— Tout à l’heure, après le dîner. Elle prend plaisir à me faire attendre ; c’est donc qu’il s’est passé quelque chose. Nous sommes assis sur le canapé, devant la télé. — Bon, si tu veux le savoir : oui, il a admiré ma tenue ; il m’en a fait compliment. Alors que nous étudiions un dossier, je me suis penchée vers lui pour indiquer un paragraphe litigieux et j’ai vu qu’il lorgnait discrètement mon décolleté. Voilà, c’est tout. C’est un homme comme les autres, il apprécie ce qu’on lui offre.— Est-ce que cette situation t’a plu ? Est-ce que c’était excitant ?— Oui, je dois le reconnaître, mais je n’irai pas plus loin. Je travaille avec lui : il m’est impossible de continuer ce petit jeu sans risque pour ma situation. Tu le comprends, j’espère, même si tu en es tout attristé ? Ce soir, elle est particulièrement chaude. Elle a envie de faire l’amour et me prodigue une fellation digne d’une professionnelle. Je la prends en levrette. De la voir ainsi devant moi, fesses offertes, je jouis violement, sans attendre son plaisir. — Je sais que tu as aimé cela, comme moi. Nous allons donc continuer. Je t’indiquerai en temps voulu sous quelle forme. C’est ...
    ... trop bon pour nous deux. Je l’embrasse, elle ne proteste pas. Puisque je le lui impose, elle n’est pas impliquée dans la décision, et cette soumission nouvelle semble lui convenir ; lui plaire, même. Nous avons changé de registre. _________________________ Je laisse passer quelques jours. Un matin, alors qu’elle s’apprête à partir, je la prends dans mes bras. Tandis que je l’embrasse, mes mains remontent le long de son dos, sous son chemisier et dégrafent son soutien-gorge. — Pas de sous-tif aujourd’hui…— Tu es fou, je ne peux pas !— Mais si ; tes seins sont très bien et savent se tenir. Ses mains protestent, mais finalement j’emporte la décision et dégage le joli soutien-gorge blanc qu’elle comptait porter. Je m’écarte pour la contempler tandis qu’elle reboutonne son chemisier. Les tétons pointent sous le léger tissu, signe évident d’excitation. Elle me regarde, toute confuse. — C’est beaucoup trop visible, je ne peux pas ! Ils vont se balancer à chacun de mes gestes…— Prends ton petit gilet…— Je vais être mal à l’aise toute la journée !— Tu sais bien que c’est ça qui est bon…— Pour tes fantasmes, oui, mais pas pour moi qui vais devoir contrôler tous mes mouvements… Elle s’en va, furieuse en apparence, en me lançant des regards noirs. _________________________ Étant rentré avant Carine, je surveille la rue. Quand elle apparaît au coin de l’épicerie, elle ne porte pas son gilet. Ses seins ondulent discrètement au rythme de ses pas. Elle ne semble pas du tout gênée et marche le ...
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