Carine a un nouveau collègue - Histoires de Sexe

Carine a un nouveau collègue

... buste haut, fière de sa beauté. Je lui ouvre la porte, elle me sourit. — Tout s’est bien passé ?— Comme tu le vois, pas de soucis. J’en ai pris mon parti et, comme j’étais naturelle, on ne les a qu’à peine remarqués. C’est très agréable en cette saison. Si tu le souhaites, je continuerai. Un à zéro. Elle marque un point et me surprend totalement. Elle m’embrasse. Mes mains caressent son dos. Pas de bretelles, pas d’agrafe pour entraver mon geste. Je sens ses seins libres contre moi. — Tu devines la prochaine étape ?— Je m’en doute, mais ne fantasme pas trop : il n’y aura pas de nouvelle étape…— Patrick a-t-il remarqué quelque chose ?— Je pense que oui… Il s’est montré très prévenant aujourd’hui. Je n’en saurai pas plus. Ce manque d’informations me plaît. Il laisse supposer des choses que mon imagination fertile peut développer librement. Dans les jours qui suivent, Carine soigne sa tenue. Je le remarque à de petits détails. Elle prend plus de temps à se préparer, hésite longtemps devant sa garde-robe, vérifie son maquillage devant le miroir de l’entrée et finalement… part en retard au travail, ce qui ne lui arrivait jamais auparavant. Il est temps que je reprenne la main. _________________________ Belle journée de juin. Il fait bon dès le petit-matin. — Aujourd’hui, pas de culotte… Prête à partir, elle me regarde dans les yeux. — Je savais que tu en arriverais là. Mais ça, c’est hors de question.— Tu vas le faire, parce que je te le demande.— Si tu m’y obliges, plus rien ne ...

... sera comme avant. Tu le veux vraiment ?— Oui. Elle remonte sa jupe, fait glisser la petite culotte de dentelle blanche et part sans se retourner. Je la ramasse et hume son odeur… Je suis allé trop loin. Je le sens. J’avais très envie de cela, ça m’excite énormément, j’en suis complètement retourné : ma petite Carine, si sage, si sérieuse, toute la journée les fesses à l’air sous sa jupe… C’est trop bon. Mais, contrairement à mes fantasmes précédents, elle n’a pas adhéré. Je l’ai forcée à faire quelque chose qu’elle me refusait. _________________________ Elle rentre deux heures plus tard que d’habitude. Pas un sourire. En l’attendant, j’ai préparé le dîner. Il va falloir jouer serré. — J’étais avec Éliane. Elle m’a offert un pot. Nous dînons face à face. Éliane est une collègue de travail que Carole ne fréquente guère. — Elle m’a fait des avances… Elle me regarde dans les yeux. Éliane, lesbienne ? Je l’ignorais totalement. — Tu la savais gouine ?— Bien sûr, tout le monde le sait, au bureau. Elle a rompu récemment avec Maryse, de la compta…— Tu ne m’en avais jamais parlé. Qu’a-t-elle fait, au juste ?— Elle m’a dit que je lui plaisais et elle a posé sa main sur ma cuisse, sous la table…— Qu’as-tu fait ?— Rien, je lui ai souri. Elle a remonté sa main sous ma jupe, jusqu’à ma chatte. Elle m’a caressée un peu, et puis j’ai enlevé sa main.— Tu… tu as aimé ça ?— C’était excitant, comme ça, dans un bar, à l’insu des clients… Tu aimerais que je gouine avec elle ?— Je ne sais pas ; peut ...