Un presbytère en Gévaudan - Histoires de Sexe

Un presbytère en Gévaudan

... sembles avoir choisi Delphine, constate Sébastien. Allez donc rejoindre les autres sur le canapé ! Delphine repousse doucement la tête de Vincent qui se relève. En un instant elle le débarrasse de son caleçon et le fait asseoir sur le canapé avant de se jucher sur lui, cuisses ouvertes. J’ai juste eu le temps d’entrevoir un puissant pénis en majesté, gonflé d’une belle vigueur ! — Frédéric, il te reste Sophie ! Il n’imite pas Vincent, il renoue avec le thème du jeu et me donne des ordres : — Sophie, je veux voir tes seins. Je déboutonne mon chemisier. Frédéric me regarde et ne fait rien. Il veut que je sois obéissante. Très bien, je le serai. Jeté sur une chaise, le chemisier ! Le soutien-gorge le rejoint. Des tas de gens ont déjà vu mes seins sur les plages mais lui, jamais encore. Moins gros sans doute que ceux de Delphine, aux aréoles plus pâles… — Ils sont sensibles, tes seins ? Pince-les ! Je vais le faire, quand je me souviens que les androïdes n’obéissent que si on les appelle d’abord par leur nom. Alors je reste impassible. — En voilà une qui n’obéit pas ! Elle cherche la fessée ? Sébastien a compris, lui : — Elle ne demanderait peut-être pas mieux mais je te rappelle qu’il faut les nommer avant d’ordonner.— Ah oui, j’avais oublié ! Mais après elles font absolument tout ce qu’on leur demande ?— Absolument !— Très bien ! Il me regarde dans les yeux. J’ai failli proclamer que je n’en voulais pas, de leur fessée, que c’était hors de question, mais je n’ai pas le droit ...

... de parler. — Sophie, pince-toi les seins, fais-en grossir la pointe ! Bien obligée d’obéir… surtout que j’aime bien. — Enlève ta jupe ! Il joue à « Jacques a dit », lui ! Je ne bouge pas. — Sophie, enlève ta jupe ! Aussitôt dit, aussitôt fait. — Sophie, le slip ! Il rejoint le reste sur la chaise voisine. — Sophie, approche. Je m’approche. Il saisit mes seins par leur pointe si sensible. Il pince trop fort et trop vite ! C’est au moment où l’orgasme s’annonce qu’on peut alors… Je grimace. — Douillette, hein ! C’est pas ce qu’on m’avait dit… Tiens, Thierry lui a fait des confidences ! Voilà qui ne m’étonne pas. Tous les mêmes, les garçons. — Sophie, enlève mon boxer. Un gland tout rouge. Pas vraiment énorme mais plus gros que chez Julien. Qui, pour le moment, les mains sous les fesses de Virginie, accompagne ses mouvements. Qui ne me regarde même pas. — Sophie, suce-moi ! Où est la boîte ? À côté de Delphine. Je la prends. Oui je te sucerai, Freddy, mais couvert. Avec la vie de patachon que tu mènes… Et j’ai horreur que ça me coule dans la bouche. C’est à prendre ou à laisser. Déçu, Frédéric ? Il n’a pas l’air. Il grogne de contentement. Non mais, il ne va quand même pas croire que je vais le faire jouir avec ma bouche ? Ma main remplace mes lèvres, je le tire puis le pousse sur le canapé. Cuisses écartées je m’empale, comme mes deux voisines. Il me regarde sans me sourire. Comme hostile. Pince la pointe de mes seins. Commande mon va-et-vient vertical en levant et en abaissant ...