Un presbytère en Gévaudan
Datte: 18/10/2019,
Catégories:
fhh,
grp,
fplusag,
jeunes,
extracon,
copains,
voyage,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Oral
préservati,
jeu,
... les mains. M’impose son rythme. Mufle ! Envie de le gifler. Mais comme il me remplit bien ! Comme ça va profond quand je me laisse retomber, brutale moi aussi ! Contraction de mon vagin, soubresauts de sa verge qui en moi explose… Il cesse de me pincer. Au moment stratégique je lui ai dit d’y aller plus fort. J’aurai mal pendant de longues minutes. Il cherche mes lèvres. Non, pas envie ! Sébastien s’approche du dossier de notre canapé, sort son pénis de son slip noir, le revêt d’une capote et me le propose. Il aurait pu au moins enlever son slip ! Je détourne la tête. Pas envie non plus ! Qui n’en veut ? Virginie pousse un peu la tête de mon Julien et ouvre la bouche. Aux premières loges, lui ! Pas encore sorti de Virginie mais déjà plus petit sans doute, comme Freddy déjà bien plus humble en moi. Puis capotes jetées dans la cheminée et rhabillage en vitesse. On a tous joui mais on a un peu honte. Enfin, moi. Ça passera. Ça passe. On est à l’aise pour le dîner. Vidée, la bouteille de Vieille Cure. Virginie prétend qu’il serait bien trop prosaïque de passer la nuit avec son partenaire habituel. — N’est-ce pas, les filles ? Nous avons nos androïdes, il faut en profiter. C’est à nous de choisir, cette fois. Moi je veux Vincent. Elle a toujours été jalouse de ce que j’avais : jouets, fringues, bouquins, garçons. Elle pense que je veux Vincent. Pas faux ! — Il y en a un qui restera en rade, objecte Sébastien. Déjà moi, tout à l’heure…— Il y a de la place pour deux chez moi, tu le ...
... sais bien, mon chéri, répond Delphine. Mais avant tout, il me faut Julien. Je n’ai eu qu’un avant goût, avec lui. J’ai besoin de toute une nuit. Au moins !— Dans ce cas, ajoute Virginie, Sophie, la dernière cliente, aura soit Frédéric, soit Sébastien. Ou les deux si elle veut.— Et pourquoi pas ? Ah, elle me défie ! Elle riait à moitié en prononçant sa phrase. Eh bien on va voir. Julien a les yeux ronds, il semble atterré. Au cas où il ferait mine d’intervenir, je prends les devants : — Sébastien, à la douche ! Frédéric, à la douche ! Suivez-moi tous les deux. Nous y sommes à l’étroit. Je ne joue plus, je les laisse faire. Ils tètent mes seins, chacun le sien ! Elle pique un peu, la barbe de Frédéric. Puis il s’accroupit, écarte mon blond minou, y porte les lèvres et la langue. Pendant ce temps, Sébastien, la bouche sans cesse sur l’une ou l’autre pointe de mes seins masse mes fesses puis mon sillon puis l’orée de mon petit trou. Je ne déteste pas quand c’est fait avec douceur, et c’est le cas. Ensuite chacun d’eux nettoie très convenablement son gland décalotté. Je sortirai de la salle de bains en les tirant derrière moi par ce qu’ils ont de plus précieux. Dans le mitan du lit, où la rivière est profonde, je serai entre eux deux et je sais ce qu’ils me feront. Ce sera la première fois pour moi. Le plus petit, c’est Sébastien, ce sera donc lui qui se mettra dessus quand je serai bien empalée sur Frédéric, mes seins, dont les pointes seront encore un peu douloureuses, écrasés ...