1. Un presbytère en Gévaudan


    Datte: 18/10/2019, Catégories: fhh, grp, fplusag, jeunes, extracon, copains, voyage, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Oral préservati, jeu,

    ... aut’ minette, domino… Il a pour moi un petit sourire triste. Promenade en forêt. Propriétaire, Julien me tient par la main ou la taille ou les épaules. Les autres sont moins guindés. Virginie entre Sébastien et Frédéric, les bras autour de leur taille. Ensuite seule avec Vincent. Puis entre Vincent et Frédéric. Delphine et Sébastien se caressant mutuellement les fesses. Le changement leur fait un bien fou. Il faut vite rentrer, les jours sont courts en automne. Le vol maladroit de trois pies quand nous sommes en vue du presbytère. Peu après, assise sur le banc, Virginie : — Vous avez vu les pies ? On dit : une pie, malheur ; deux pies, malheur ; trois pies, bonheur.— Tu crois, Virginie ? Pour moi, c’est : une pie malheur ; deux pies bonheur ; trois pies mariage, affirme Delphine.— Tu veux épouser Sébastien ? Il est vrai que vous avez fait un boucan de tous les diables, cette nuit. Delphine se contente de rire. Virginie se tourne alors vers moi : — On ne t’a pas entendue, toi ! Pourtant… Julien aura matière à me quereller une fois de plus ; ce « pourtant » va lui donner à penser. Je ne trouve pas grand chose à répondre, sauf : — Julien m’a traitée de poupée gonflable.— Mais quelle horreur, Julien ! s’indigne Delphine. Il bafouille, mon Julien, tente d’affirmer que c’est tout le contraire. Virginie le regarde dans les yeux : — Mais ça pourrait être très amusant, d’être traitée comme une poupée gonflable ! À condition que vous, les garçons, vous le soyez comme des… robots… ou ...
    ... mieux, des androïdes ! On commencerait par ça. Oh, un petit jeu bien innocent. J’en vends, des androïdes. Ou plutôt j’en loue car il est bon d’en changer de temps en temps. Allez, les garçons, assis sur le banc, le dos contre la table. Dépêchez-vous ! On ne résiste pas à Virginie. Ils s’installent en souriant. Avec elle, il n’y a pas de jeux innocents, je le sais bien. Il va enfin se passer quelque chose. Qu’elle veuille tout régenter a du bon, en fin de compte. — Sophie, tu es ma première cliente, tu cherches un androïde susceptible de te satisfaire. Regarde mon stock : ils sont tous très charmants, n’est-ce pas ? Tu es ma première cliente de la journée, tu as donc le choix. Elle doit bien penser que je vais me croire obligée de prendre Julien. C’est pourquoi elle me montre son compagnon : — Celui-ci se nomme Sébastien. Bien des clientes raffolent de ses yeux bleus et de ses cheveux blonds. Il est blond partout, si tu vois ce que je veux dire. Il sert habituellement à mon usage personnel mais je le cède parfois. Sébastien, debout ! Ils obéissent tous à la voix mais il faut, à chaque fois qu’on leur donne un ordre, les appeler d’abord par leur nom. Tu veux le toucher, tu veux qu’il se déshabille ? Elle va trop vite. Julien fronce les sourcils. Elle prend le virage avec habileté : — Tu regardes Julien. Tu sembles le préférer. Julien, debout ! À toi, Sophie, ordonne ! S’il n’obéit pas, le jeu en restera là. Mais il se lève, sourire aux lèvres, faraud. Puisqu’il est si fier de son ...
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