1. Un presbytère en Gévaudan


    Datte: 18/10/2019, Catégories: fhh, grp, fplusag, jeunes, extracon, copains, voyage, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Oral préservati, jeu,

    ... physique, il va nous le montrer. — Julien, enlève ta chemise, pour que je puisse tâter tes muscles. J’ai pris le ton impératif qui convenait. Torse nu, c’est vrai qu’il est beau. Je pince un peu ses petits tétons, palpe ses biceps. Virginie tient à son jeu. Elle bonimente : — C’est en effet un très bon élément, mais tu dois quand même voir les autres avant de te décider. Frédéric, debout ! Torse nu, toi aussi. Bien obligée, moi, de pincer les petits tétons de Frédéric et de palper ses biceps. Sous son pantalon de survêtement, je crois qu’il commence à bander mais je m’illusionne peut-être. — Vincent, debout et torse nu ! Je fais de même avec le grand Vincent. Je suis peut-être seulement la seconde fille à le tripoter ainsi, tant il était amoureux fidèle, et depuis si longtemps ! Virginie est à présent beaucoup plus sûre d’elle : — Sébastien, torse nu toi aussi ! Tu vois, Sophie, le premier que je te montrais vaut bien les autres. Tétons sensibles et biceps… oh, biceps bien normaux, sans plus. Ce ne sont pas des déménageurs ou des nageurs de compétition, nos androïdes. Maintenant tu vas voir leurs jambes… Va-t-elle aller trop loin ? Julien va-t-il se rebeller ? Elle le rassure : — … Que leurs jambes, pas le reste qui nous intéresserait pourtant au premier chef mais ils sont pour le moment programmés pour rester pudiques. Ce n’est pas un sex-shop, ici, mais une maison sérieuse. Sébastien, en slip ! Il se débarrasse de ses mocassins, enlève ses chaussettes et ôte son pantalon. ...
    ... Slip noir, bien moulant. S’il bandait, on le verrait. Après lui, c’est Frédéric qui se trouve en boxer bleu. Puis c’est Vincent. Caleçon de toile blanche rayée de bleu. Regarder son visage, pas faire fuir Julien, Julien bien obligé d’imiter les autres. Bosse, lui. Déjà excité, mon Julien, sous son slip, tiens donc ! Et maintenant ? Virginie doit bien avoir son idée. En effet : — Sébastien, désormais c’est toi le patron des androïdes de sexe féminin. Nous, les filles, assises sur le banc ! Nous avons remarqué que les androïdes mâles n’ont pas parlé, ils ont parfaitement compris la règle du jeu. Nous ferons pareil et n’ouvrirons pas la bouche. Sauf pour… Oh, mais qu’est-ce que je raconte, moi ? Enfin on verra bien ! Allez, Sébastien, tu as des clients, assume ! Il prend la relève avec enthousiasme et vante la marchandise : — Chers clients, vous ne vous êtes pas trompés de magasin ! Vous êtes déjà en sous-vêtements et vous avez bien raison ! C’est ici que vous trouverez les plus jolies, les plus habiles, les plus douces mais aussi les plus… passionnées, les plus amoureuses, les plus perverses des poupées androïdes ! Vincent, ami Vincent, admire ! Admire et fais ton choix ! C’est moi que Vincent regarde ! J’en jubile mais Julien fronce les sourcils. Sébastien comprend qu’il a mal commencé et se tourne vers lui : — Julien, jeune Julien, voici Virginie ! Elle est généralement réservée à mon usage personnel mais je la cède volontiers, car elle ne demande que cela. Virginie, debout ! ...
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