Soir de fête ou les joies de la petite reine
Datte: 18/10/2019,
Catégories:
fhh,
inconnu,
fête,
volupté,
Oral
Partouze / Groupe
fsodo,
... flonflons de la fête, des manèges, de la musique. Un large trottoir sous des mûriers platanes, quelques massifs d’arbustes assez fournis, derrière lesquels ils disparurent. Je fis quelques dizaines de pas et les découvris enlacés dans un baiser fougueux, se caressant avec avidité. Il avait ses main sous la jupe de sa compagne, lui caressant les fesses en remontant lentement la jupe, découvrant de longues cuisses musclées, un joli petit derrière – enfin pas si petit que çà – bien cambré , deux fesses bien rondes séparées par un mince tissu blanc. Et ces mains qui caressaient cette peau nue, qui s’insinuaient plus bas à la recherche de son intimité moite. Elle était sur la pointe des pieds, les cuisses ouvertes et les jambes légèrement fléchies pour faciliter ces caresses plus précises. Un bruit de pas, des rires et tout rentre dans l’ordre, la jupe s’ajuste et nous voilà tous les trois, côte à côte contre la barrière, comme dans l’attente du passage des coureurs. Les pas s’éloignement, tout redevient calme. En fait nous étions presque complètement masqué par les touffes d’arbustes. Leurs caresses reprirent ; j’étais très près de la jeune femme, je voyais son compagnon retrousser complètement sa jupe et continuer ses caresses précises. Peu à peu, elle se rapprochait de moi tendant son magnifique derrière à mes caresses. Levant son visage vers moi elle me dit : « J’ai bien aimé tout à l’heure, mais on doit pouvoir faire beaucoup mieux » en plaquant vivement ses fesses quasiment ...
... nues contre mon ventre Je me retrouvai dans la même position que tout à l’heure, mais là plus besoin d’être discret. Je caressai lentement ses hanches, lui imprimant un mouvement de va-et-vient ; mon sexe, tendu à l’extrême pressait le creux de son intimité ; ses cuisses s’ouvraient et se refermaient pour mieux sentir encore la pression de mon gland sur ses chairs intimes. Mes mains caressaient, ses hanches douces et fermes, la rondeur de ses fesses, le velouté de ses cuisses, surtout en remontant à l’intérieur, tout prés de son puits d’amour, là où la peau est d’une finesse et d’une douceur incomparable ; là où il ne faut caresser qu’en effleurant avec le bout des doigts, ou mieux encore avec les lèvres ou la pointe de la langue. Elle ondulait lentement des hanches, dans une danse lascive, recherchant le contact avec mon sexe et suivant mes caresses, ouvrant ses cuisses pour m’inviter à aller plus loin. Dans ces mouvements désordonnés, je ressentais la douceur du tissu de son dernier rempart, cette moiteur, cette douce chaleur qui venait du centre de son corps. Chaque fois que mes doigts s’approchaient de son intimité, elle m’encourageait d’un soupir, d’un petit : « oui » murmuré dans un souffle. J’accédai à ses désirs en posant ma main en conque sur son sexe, la pressant plus fort contre mon sexe, lui faisant sentir tout mon désir. Sous mes doigts, à ma grande surprise, je découvris son sexe quasiment nu, ses lèvres intimes gonflées de désir, parfaitement lisses, inondées ...