Soir de fête ou les joies de la petite reine
Datte: 18/10/2019,
Catégories:
fhh,
inconnu,
fête,
volupté,
Oral
Partouze / Groupe
fsodo,
... par son excitation. Son désir était si violent, que le léger voile de son string, complètement trempé, n’était plus qu’une mince ficelle qui avait pénétré son intimité. Je compris aussitôt ses balancements, ses cambrures, les mouvements des ses reins, ses pressions sur mon sexe ; à chaque mouvement de son corps, cette mince « ficelle », glissait au plus profond de sa fente en une lente et douce masturbation . Mes doigts furent quasiment aspirés par sa fente tant elle était pleine de cyprine. Délicatement, je fis glisser le tissu sur le côté et je commençai mes caresses plus intimes, montant et descendant le long de sa fente, m’arrêtant à l’entrée de son corps, résistant avec peine à ses coups de reins qui m’invitaient à la pénétrer plus profond et m’attardant longuement sur son petit bouton qui durcissait sous mes caresses. Ses mouvements se faisaient plus saccadés, son souffle de plus en plus court, elle étouffait difficilement de petits gémissements de plaisir. Elle « s’accrochait » à son mari pour garder son équilibre, penché à son oreille, il lui parlait doucement, mais toute à son plaisir, elle continuait à gémir et ne lui répondait que par des mouvement de tête. Il se releva, mais les mouvements de tête de sa compagne se poursuivaient à un rythme régulier et ses gémissements de tout à l’heure étaient encore plus étouffés ; elle était en train de le sucer. « Oui…, continues…, suces moi bien…, hummmm, comme çà…… » Il l’encourageait discrètement ; à chacun de ses mots ...
... elle répondait par un petit grognement de satisfaction. Sa main droite s’infiltra entre mon ventre et son petit cul, prit mon sexe tendu pour m’amener sur le côté, fébrilement elle tentait de descendre le zip pour me libérer mais elle n’y arrivait pas. Je l’aidai rapidement, il y avait longtemps que j’étais à l’étroit dans mon vêtement. Le lent va-et-vient de ma tige entre ses fesses, même à travers les étoffes m’avait mis dans un tel état d’excitation… mon slip était presque aussi trempé que son string. Enfin elle dégagea l’objet de ses convoitises, elle me prit à pleine main comme pour l’évaluer, parcourant ma tige sur toue sa longueur, soupesant et jouant avec mes boules, remontant sur le gland pour le décalotter à fond et le « griffer » avec douceur du bout des ongles puis, me reprenant à pleine main elle commença un lent et profond va-et-vient, faisant coulisser lentement la peau sur mon gland. A mon tour je l’encourageai à continuer ses caresses. L’excitation montait de plus en plus, le rythme des nos caresses augmentait ; les mouvements de sa tête étaient plus rapides, mes doigts courraient de plus en plus vite sur son intimité, sa main accélérait le mouvement sur ma tige. Elle releva la tête vers son mari à la recherche d’une complicité, se tourna vers moi et me prit dans sa bouche. J’ai bien cru exploser immédiatement tant j’étais excité mais aussi tant sa caresse était inattendue et profonde. Sa langue chaude s’enroulait autour de mon gland en insistant sur les points ...