1. Soir de fête ou les joies de la petite reine


    Datte: 18/10/2019, Catégories: fhh, inconnu, fête, volupté, Oral Partouze / Groupe fsodo,

    ... plus aigus. Elle avait repris mon sexe en main, le caressant sur toute sa longueur, faisant aller et venir sa main le long de ma tige, rythmant ses mouvements à ceux de son mari. Elle s’écarta une nouvelle fois de moi, se courbant vers mon sexe tendu et me prit une nouvelle fois entre ses lèvres, mais très vite ses mains remplacèrent sa bouche et je sentis qu’elle me mettait un préservatif. Elle m’attira vers elle en se redressant : «Vient » me dit elle… …prends moi… … Elle me guida vers elle, se redressant le plus possible pour faciliter la pénétration, se cambrant toujours pour garder son mari en elle. Je fléchissais les jambes, son mari la soulevait…. « Ouiii … … là … … comme çà….. houpsss ….attend…. …là maintenant…. … non Jean Marc attends…. ne bouges plus …. on ne va pas y arriver….. Elle guida mon sexe vers son intimité brûlante, mon gland la pénétrant à peine, mais les mouvements désordonnés, la position inconfortable nous firent perdre l’équilibre. Enfin elle s’accrocha à mon cou, leva sa jambe droite, la passant par-dessus mon bras « Ahhhh…. » le chemin de son corps venait de s’ouvrir enfin, je sentis ma tige comme aspirée. Nous étions maintenant tous les deux en elle. Je laissai redescendre lentement sa jambe et me redressai. Elle se retrouva debout entre nous deux, accrochée à mon cou, les pieds touchant à peine le sol, sa tête abandonnée sur mon épaule. Ce fut elle qui commença à bouger d’abord lentement et difficilement, c’était plus son corps qui se ...
    ... contractait, ses muscles vaginaux qui massaient délicatement mon sexe au plus profond d’elle. Puis nous commençâmes à bouger en elle ; lentement d’abord cherchant notre rythme, l’excitation montant nos va-et-vient étaient de plus en plus amples, de plus en plus rapides. A chaque mouvement de nos hanches, elle décollait du sol, calées entre nous deux « littéralement plantée » sur nos sexes. La tête en arrière, la bouche ouverte exhalant une longue plainte rauque et modulée, elle se laissait aller à la montée de son plaisir, encourageant nos coups de reins par des grognements de satisfaction. Ouiiiii … … Ouiiiii… …plus fort… … ensemble … …je… je…ahhhhh !!!!! Tétanisée, cherchant sa respiration, bougeant la tête dans tous les sens, lancée dans une danse infernale de ses reins telle une vahiné, elle jouissait aussi discrètement que son plaisir le lui permettait. Un coup de rein brutal de son mari lui arracha un cri qu’elle étouffa sur mes lèvres me mordant jusqu’au sang, elle jouissait une deuxième fois sous les coups de boutoir de son mari qui se vidait au plus profond de son corps en une longue plainte étouffée. Toute à son plaisir, elle s’était violemment cambrée pour être pénétrée plus profond mais aussi m’avait rejeté de son corps. Elle se calmait lentement, déposait de petits baiser sur mes lèvres, reprenait son souffle, son mari continuant à aller et venir très lentement entre ses reins en une caresse apaisante. « Et toi » me dit elle… en tendant la main vers mon sexe qui était ...
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