La fille au ruban rouge...
Datte: 19/10/2019,
Catégories:
f,
fh,
asie,
inconnu,
Collègues / Travail
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fdanus,
piquepince,
init,
... passive la suite de la scène. — En plus, ajoute la fille au ruban rouge, ça bouge ! Et elle imprime à ma main dont elle s’est emparée, avec douceur mais fermeté, un mouvement légèrement tournant, qui anime le membre sculpté qui est monté sur un très fin axe d’ivoire. A la vue de cette scène animée et très érotique, je souris. Le contact de la main chaude, douce, à la peau fine m’électrise, me trouble. — Mais que fait une jeune femme, aussi chic, avec des boutons représentant des scènes érotiques dans son sac à main ?— Rien … me dit-elle en me regardant droit dans les yeux et sans retirer sa main de dessus la mienne.— Allons …— En fait, je suis restauratrice de ces objets … Et, tout d’un coup, elle a semblé avoir du temps devant elle. Ses grands yeux noirs se sont mis à briller, ses lèvres, fines et ourlées se sont largement entre ouvertes pour aspirer de l’air. Sa poitrine, menue, s’est posée sur le rebord de la table, elle se penche vers moi et d’un ton presque confidentiel continue : — Je restaure ces objets, je les expertise, je leur redonne vie et quelque fois, pour certains clients, j’en créé de nouveaux… Vous voulez voir ? Voilà comment, deux jours plus tard, je sonnais à la porte de la fille au ruban rouge, dans une rue sombre et étroite du quartier du Marais, en étage d’une très vieille maison parisienne. Marina - en fait la fille au ruban rouge a bel et bien un prénom – Marina est venue m’ouvrir. Elle avait troqué son ruban rouge, contre un de couleur jaune paille. ...
... Elle portait une longue blouse blanche, dont les pans étaient largement ouverts en bas et très décolletés en haut, laissant voir qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Le moindre mouvement ouvrant sa blouse, laissant voir le magnifique galbe de ses jambes, brunes, entre aperçues lors de notre rencontre, un peu … brutale. L’atelier qu’elle occupait, jouxtait son appartement. C’était une grande pièce, mal rangée où s’entassaient pêle-mêle bibelots, cartons, pots en tout genre, bric-à-brac d’objets et d’outils plus ou moins petits. Devant une grande baie vitrée, donnant sur la cours, un grand établi, ne laissait que peu de place au vide … Et une odeur prégnante et forte de colle, de cire, d’acides, de vernis et de corne brûlée … Marina commence par me faire faire un rapide tour de son antre, me déversant à toute allure une série d’informations sur les origines, l’utilité de ces chers boutons et sur la richesse qu’ils représentent. Tout en l’écoutant d’une oreille distraite, je parcourre des yeux les étagères et les vitrines où attendent les dits boutons soit pour être réparés, remis à neuf, soit en attente d’être retourné à leur propriétaire. Dans l’une d’entre elle, un objet bien différent, attire mon attention. Il est lui aussi en ivoire, brillant, oblong. Il est couché sur un lit de poussière grise et blanche. Je m’approche et en le pointant du doigt je le désigne à Marina. — Et ça, ce n’est pas un Netsuke ?— Non, c’est un … godemiché japonais du 5ème siècle.— Si ancien ?— ...