L'hopital psychiatre (1) - Histoires de Sexe

L'hopital psychiatre (1)

... de ses couilles. Puis il commence ses coups de rein. Il me laboure la chatte mécaniquement, ses mouvements sont secs, puissants et profonds. A chaque coups de bassin, j’ai l’impression qu’il s’enfonce encore plus profondément dans ma chatte, l’expression « taper dans le fond » prend tout son sens. Ses coups sont tellement violents qu’avec ses couilles il tape sur le gode dans mon cul, ce qui l’enfonce un peu plus. J’ai l’impression que mon anus va l’avaler. A plusieurs reprises, il sort sa queue et me la tapote sur la chatte. C’est encore douloureux quand il percute mon clito mais ça m’excite de plus belle. Je ne sais pas pourquoi, je repense à la fille dans le gangbang et j’ai envie d’être à sa place. J’ai envie là maintenant de me faire prendre par tous les trous. D’ailleurs je remarque que je tette littéralement le gode dans ma bouche. Je l’imagine être une bite. Il continue encore de me baiser puis se déverse en moi. Je n’étais pas loin de l’orgasme. Heureusement, un suivant aussi bien monté, prend sa place sans tarder. Il me laboure de la même manière. Profondément mais lentement. La chaleur de son membre, ma position, offerte écartée, le gode dans ma bouche et mon cul, je ne tarde pas à jouir comme jamais, mon corps entier est pris de violent tremblements, et malgré le gode dans la bouche, l’on m’entend exalter. L’homme jouit presque immédiatement après moi. La vingtième bite ne me laisse pas reprendre mes émotions qu’elle est déjà en moi, me réservant le même ...

... traitement que les deux dernières. Cinq autres bites défilent avec le même traitement. La 26eme est plus épaisse que les autres. Je la sens qui à un peu de difficulté à rentrer. Le gars doit s’y prendre plusieurs fois, ma chatte est tirée à son maximum pour laisser rentrer ce gourdin. Une fois en moi, je sens toutes mes parois vaginales écartelées, il me rempli tellement, que l’ai l’impression que le gode dans mon trou du cul à pris du volume car cette fois ci je le sens bien. C’est un poil inconfortable, je ne suis pas habituée à si imposant. Mais mon vagin s’habitue lui très vite à la taille, et bientôt sous ses coups de mandrin je commence à sentir une vague de chaleur m’envahir. Malheureusement pour moi, je n’ai pas pu en profiter d’avantage, le gars éjacule rapidement en moi. Je me sens frustrée. La 27e bite se présente. Je me souviens de sa taille, elle était vraiment très imposante. La douleur prend le dessus sur le plaisir, la taille est vraiment trop grosse, j’ai l’impression que ma chatte va se déchirer. Je commence à sentir des larmes rouler sur mes joues. J’ai envie d’arrêter, mais personne ne m’entend. Je sens le gars forcer de plus belle mais c’est impossible qu’il rentre en entier. J’ai trop mal, le gars me tape la chatte à toute vitesse, mon clito n’est que douleur. Je me tortille sous ses coups mais les liens me tiennent fermement. Il éjacule dans un gros flot. Ouf soulagée. Mais j’avais oublié la 28e bite, celle que je n’ai pas pu sucée tellement elle est ...