-
L'hopital psychiatre (1)
Datte: 19/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe
... pas parler. Il y a des bites partout. Une orgie de bite. Une bite rentre presque immédiatement dans mon cul. Me voilà prise en double pénétration, en train de sucer du mieux que je peux et de branler une queue dans chaque main. Mon Dieu comment je vais faire pour les satisfaire tous. Et voilà comment je fini. Un morceau de chaire à la merci de ces hommes. Et vous savez quoi ? J’ai apprécié, oui j’ai vraiment pris du plaisir. Bien sur c’était très difficile de satisfaire ses hommes insatiables, ils auraient pu me tuer sous leurs coups de bites. Heureusement chaque jour, à 16h j’étais amené à part, dans une pièce fermée rien que pour moi avec douche et toilette privée, j’avais même mon lit à moi. Je prenais mon repas du soir et du matin dans cette pièce. Au calme. Chaque jour à 8h, l’infirmier me demandait si je voulais ou non me joindre aux autres, si je répondais oui, pendant 8 h j’étais dans le baisodrome, inutile de vous faire un dessin, tous les hommes sans exceptions me passaient dessus. Une fois ma chatte était tellement remplie de foutre que le gars qui allait pour me baiser a juste effleurer son gland contre mes lèvres que des flots de sperme en sont sortis. Ça faisait office de lubrifiant naturel au moins. Les fois ou je disais non, soit parce que j’étais trop fatiguée, soit parce que j’avais trop mal à mes orifices, l’infirmier me mettait une culotte métallique de chasteté et me laissait quand même 8h dans le baisodrome. Autant vous dire que ça n’arrête pas ...
... vraiment les hommes. Ils me démontaient la bouche sans relâche. Et j’avais même des crampes aux mains à force de branler des queues. La culotte de chasteté était tellement inconfortable que j’ai fini par toujours dire oui tout le temps. Même les trois jours dans le mois où j’avais mes règles. Je pensais que ça allait en dégoutter plus d’un, et bien je m’étais royalement trompée ! L’avantage de se faire sauter quand on à ses règles c’est que les douleurs menstruelles partent plus vite. A un moment au cours des trois mois, inutiles de me demander quand, j’avais perdu toute notion du temps, les hommes étaient chaque jours de moins en moins nombreux à me baiser. Et au fil du temps on à pu faire d’autres activités que baiser. Comme jouer aux cartes, regarder la TV, se promener dans la petite cour les beaux jours… Puis un jour, l’infirmière en chef est venue me chercher pour ma nouvelle évaluation. Trois mois c’était déjà écoulés. Incroyable. Comme lors de mon arrivée, j’ai du me mettre nue, les jambes écartées sur la table gynécologique face aux 12 médecins. On me mit un film pornographique, un gangbang en faite, dans lequel l’héroïne, moi, se faisait sautée par 24 hommes. Ma première journée au baisodrome il me semble. Les médecins ont vérifié chacun leur tour en introduisant leur index dans ma chatte si je mouillais. Rien. Je n’avais tout simplement plus d’envie de sexe. Ils me déclarèrent guéris. Ainsi que 21 des hommes qui étaient avec moi dans le baisodrome. Fin de l’histoire.