1. Domination féminine 1


    Datte: 09/09/2017, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme

    ... Aucune loi n'interdisait cela pour l'instant. Il ne savait où il avait déjà vu ce visage féminin. Dans la vie de tous les jours, il croisait beaucoup de femmes mais n'en rencontrait jamais. Celle du wagon se tenait devant lui en uniforme bleu et blanc, une lycéenne. Elle fixait parfois des corps proches de lui parfois la portière. Son visage aux traits réguliers recelait une douceur affective en équilibre avec l'arrogance de sa posture corporelle. Toshimi Okura se demanda d'où provenait l'impression peu ordinaire qu'elle imprimait en lui. Ses nichons ? Elle les avait droits, pointus, en obus, volumineux, on les devinait sous son uniforme scolaire. Sa relative grande taille pour une japonaise ? Ses longues jambes ? Ses pieds d'une proportion naturelle que la culture machiste n'était point parvenue comme dans les siècles précédents à restreindre ? C'était une femme de l'ère Heisei. C'était peut-être La Femme de sa vie ! Il en avait croisé en grand nombre, de probables femmes de sa vie qu'il n'avait jamais eu l'audace d’aborder. Sortie du film Battle Royal de Kinji Fukasaku Mitsuko Sôma se tenait debout devant lui. Comme il aurait aimé-là, à l'instant qu'elle l'abattit d'une rafale d'Uzi ! Il s'écroulerait sur le sol le torse en trous. En la contemplant sourire une dernière fois à l'ombre de son visage austère il se viderait de son sperme et de son sang. L'entreprise dans laquelle travaillait Toshimi Okura, grande marque, était une entreprise Japonaise présente sur quatre ...
    ... continents. Tout juste sorti de l’université Toshimi Okura avait commencé à l'échelle inférieur dans la succursale de Tokyo. Pendant une année son rôle avait été de nettoyer les toilettes, de faire le ménage dans les bureaux individuels et ouverts. La deuxième année il avait occupé le poste d’hôte d’accueil. La troisième année, celle actuelle, il occupait le poste que le langage spécifique de la société désignait par influenceur numérique. Le poste d'influenceur numérique consistait à veiller à la web-réputation de la marque sur la toile, spécifiquement sur les plates-formes de vente sur internet. Ça n'était pas un travail pénible, ça demandait de l’imagination, des notions en informatiques, en sociologie, et de l’abnégation. Sur les sections dédiées aux critiques d'un produit en vente de la marque il devait rédiger des avis clients, bien sûr des faux avis qui devaient à la fois paraître vrai pour les clients potentiels et pour les algorithmes des sites internes marchands qui favorisaient la visibilité des produits les mieux notés et ceux ayant reçus les meilleurs notes sur une échelle à cinq étoiles. Il notait cinq étoiles les produits de la marque avec de vrais-faux comptes clients, cela améliorait le référencement des marchandises. Selon le produit et selon la cible du produit il adaptait le ton et le style de son écriture en s'aidant des fiches psychologiques disponibles. Pour le public mâle urbain sous la trentaine, le langage était grossier, quasi insultant, bourré de fautes ...
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