Séverine, directrice et esclave. (4)
Datte: 21/10/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... sur mes hanches. — Bon dieu, ces seins… Séverine, laisse-moi te dire que tu es magnifique ! — Merci Manu… — Robert, mon ami, tu as illuminé ma journée. Merci à vous deux ! — Manu, tu es sur que tu ne veux rien de plus ? ajoute mon président alors que je pensais pourvoir m’en tirer ainsi. — Bin, ça me gêne… Tu dis que c’est pas une pute et je ne sais pas trop pourquoi elle fait ça pour toi alors, je veux pas abuser… Sentant que le jeune était réellement gêné par cette situation bizarre mais voyant qu’il bandait comme un taureau devant moi, je prends la parole : — Du coup, ça te dirait une petite branlette vite fait ? Je t’assure que ce ne sera pas abuser, puisque c’est moi qui te propose… — Putain, Robert… Comment tu fais pour recruter des directrices comme ça ? répond-il avec un visage encore incrédule. Puis il me regarde et ajoute : — Ok pour une branlette… Fais-moi voir ce que tu sais faire, beauté. Par contre, les mecs, vous vous retournez, je suis un homme pudique ! — Normalement, je préfère regarder, répond mon Président, mais ok pour cette fois… Alors que je m’accroupis devant Manu, François et le Président se tourne en direction de la rue principale, nous faisant dos et nous cachant par ailleurs des passants. Jambes bien écartées, je commence à ouvrir le pantalon de Manu et en sort un sexe de taille très honorable, déjà un peu durci, d’aspect propre mais franchement odorant. Mes premières caresses finissent de faire bander le jeune homme, me confirmant qu’il est plutôt ...
... bien monté. A peine mes mains commencent-elles de faire monter et baisser la peau recouvrant le prépuce de Manu que celui-ci semble être au septième ciel. — Putain, j’avais oublié à quel point c’est bon quand une femme vous branle… wemwssjl — Alors profite, Manu, je vais prendre mon temps, lui répondis-je en massant ses couilles d’une main et en le branlant doucement de l’autre. Passé ce moment de surprise, Manu se ressaisit et me regarde alors fixement alors que je le masturbe un peu plus rapidement en me mordillant la lèvre d’excitation. — Ça à l’air de te plaire aussi on dirait ? constate-t-il — J’avoue que j’adore branler de belles queues… — Même celles de clochards parfaitement inconnus ? Je hoche alors la tête en gémissant un peu car Manu, en posant sa question, venait de caresser mon sexe totalement offert avec ses doigts crasseux. Tout en continuant de le branler, je regarde entre mes jambes et vois, sans que cela ne me gêne, cette main sale, calleuse, pleines de coupures et d’éraflures me caresser et jouer avec mon clito. Manu enfonce ensuite deux doigts en moi et commence à me branler tandis que, moi-même, j’accélère mes mouvements sur sa queue. — Tu mouilles sacrément, Séverine, remarque-t-il. Tu adores vraiment me branler ! — Hum, oui… Tu sais, Robert disais vrai : tu aurais pu me demander n’importe quoi. Je n’ai pas de tabous… Manu me sourit alors et, voulant peut-être tester ce que je venais de dire, retire ses doigts de mon vagin et en enfonce un dans mon cul. ...