Séverine, directrice et esclave. (4)
Datte: 21/10/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... Ne me voyant ni contester, ni trouver cela désagréable, il commence à faire des allers-retours dans mon fion avec son long doigt. Il semble presque plus apprécier le fait de me branler de cul plutôt que de se faire branler et garde la bouche grande ouverte d’excitation en accélérant son mouvement. Soudain il m’annonce : — Putain, ça vient, ma poule, je vais bientôt tout envoyer… — Tu veux venir sur moi ? — Prends-moi dans ta bouche, plutôt. Si ça te va… — Tout me va, Manu. Tout. Je me penche alors en avant tandis qu’il retire son doigt de mon fion et lui gobe la queue. Effectivement, le gout de sa peau est très acre, mêlant odeur de sueur et d’urine. Mais ce fumet, bien que chargé, n’est pas une première pour moi et ne m’empêche pas de le sucer goulument et profondément. Le changement de rythme retarde un peu son orgasme mais mon pompage expert finit quand même par le faire venir rapidement. Il me maintient alors la tête et me jute dans la bouche une belle quantité de sperme chaud. Son éjaculation est longue et puissante ; sa semence épaisse et très forte en gout. Vidé, il s’affale au sol, sortant de ma bouche et faisant ainsi couler de sperme depuis la commissure de mes lèvres. Je m’apprêtais alors à avaler cette grosse gorgée de foutre mais j’entends dans mon dos mon Président m’appeler : — Séverine, attendez. Je veux vous voir avaler la semence de mon ami. Je me retourne, la bouche pleine, donc vers Robert et François. Les deux hommes sont à présent tournés vers nous ...
... tandis que Manu se redresse en remontant son pantalon. — Montrez-nous, demande le Président. J’ouvre donc la bouche devant les trois hommes et leur montre fièrement la quantité respectable de foutre qui la rempli. — Parfais… Attendez… rajoute-t-il Je me rends alors compte que la situation est particulièrement avilissante : moi accroupie devant 3 hommes, la bouche pleine de foutre, attendant qu’on m’autorise à avaler. Comme un chien sur lequel on a posé un sucre et à qui on ordonne d’attendre pour le manger. En même temps, je suis une bonne grosse chienne, donc c’est presque normal ! Enfin le président, satisfait de m’avoir vu me gargariser avec le sperme de Manu, me dit : — Avalez. Sans hésiter, j’avale d’un coup le contenu de ma bouche puis tire la langue à mon public pour leur montrer que je suis une bonne esclave qui obéit aux ordres. Puis alors que je récupère mes habits et que j’enfile mon string, Manu dit à Robert : — Encore merci, Robert. Et surtout ne la licencie pas, celle-là. C’est une femme unique, je te le dis ! — Je sais Manu, elle est incroyable, répond-il en me regardant reboutonner ma chemise. Je sais ma chance de l’avoir à ma disposition. D’ailleurs, si cela te convient, nous reviendront bientôt. — Avec plaisir Robert. Au revoir Séverine, à bientôt. — A bientôt, Manu, merci pour ce moment… — Elle avale mon foutre et en plus elle me dit merci… J’hallucine ! rajoute-il alors que nous reprenons notre chemin dans la rue principale. Je me rhabille bien pour ne pas trop ...