1. Tel est pris(e)...


    Datte: 21/10/2019, Catégories: h, fh, copains, Collègues / Travail bizarre, fsoumise, hdomine, contrainte, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation jeu, journal,

    ... découvris un visage détendu, confiant, souriant doucement à je ne sais quel songe… Je pris mon temps pour détailler son corps que je devinais plutôt qu’autre chose au vu des vêtements amples qu’elle portait. Après ces quelques instants d’égarements, reprenant mes esprits, je lui avouai n’avoir aucune idée sur la façon d’hypnotiser quelqu’un et qu’elle pouvait donc arrêter… mais elle n’arrêta pas ! …silence…Elle gardait la pose, comme pour réprouver mon aveu… Interloqué, je la fixai plus attentivement, lui saisi la main par-dessus le bureau, et l’approchai de moi. Elle continuait de se laisser faire, absente… Voulant en avoir le cœur net, je commençai à lui la caressai en la détaillant mieux. Je suivais le pourtour des doigts, les effleurant doucement, puis plus fort, puis à nouveau doucement… J’admirai le dessin des veines sous la peau, et remontai son pull en laine pour voir paraître un avant-bras. Soyeux et doux au touché, il m’emplit d’une tendresse que je m’ignorais. Je le caressai un instant puis, décidant de la tester une bonne fois, le laissai à plat sur le bureau. — « Ouvres les yeux maintenant. » Elle obtempéra. Son regard n’était pas différent d’à l’accoutumée, quoique peut-être un peu plus insistant, plus fixe qu’avant… toujours aussi vif et ludique mais plus ouvert, plus libre que je ne m’en souvenais. Je posai mes clefs sur le bureau et lui dis, hésitant : — « Lèves-toi, prends ces clefs et vas fermer la porte. » Sans la moindre hésitation, elle se leva, prit le ...
    ... trousseau, fit demi-tour, alla à la porte qu’elle ferma après avoir cherché la bonne clef. Une fois la porte fermée, elle ne bougea plus. Totalement incrédule, je la voyais de dos, debout, droite, toujours enrobée de son pull cependant retroussé sur un bras. Hésitant, je poursuivis : — « Enlèves ton pull… » Ses mains descendirent le long du corps ; empoignèrent le pull et remontèrent ensuite jusque pardessus la tête. — « Arrêtes ! » Hurlais-je presque. Elle était immobile, la silhouette maintenant visible sous un pantalon me laissant parfaitement deviner les fesses… Le cou comme la tête toujours sous la laine de son pull. J’attendis un instant avant de poursuivre : — « Bien, continues maintenant, puis retournes-toi doucement. » De face, elle me plut plus encore. Je lui demandai de se passer la langue sur les lèvres, ce qu’elle fit immédiatement. N’y tenant plus, j’ajoutai : — « Enlèves doucement ta chemise… un bouton à la fois… Parfait ! »— « Maintenant, caresses-toi les seins… plus doucement… c’est cela… » Je la voyais se caresser comme personne ne l’avait jamais fait devant moi, toujours debout, en soutien-gorge. Je lui demandai de l’ôter, la poitrine apparut… Visiblement, elle le gardait pour bronzer. La marque lui donnait d’ailleurs un air étonnamment plus nu que celui d’un teint uni. Les aréoles peu étendues me fascinaient. Les seins visiblement fermes tenaient quasi-droit. Les mamelons m’en semblaient plus foncés et proéminents que normalement, mais mon expérience en la ...