1. Tel est pris(e)...


    Datte: 21/10/2019, Catégories: h, fh, copains, Collègues / Travail bizarre, fsoumise, hdomine, contrainte, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation jeu, journal,

    ... — « Enlèves ta culotte et assieds-toi sur le bureau. » Dans cette position, elle s’offrait singulièrement. Prenant appuis sur les mains, son sexe s’ouvrait, semblant m’appeler. Je m’en approchai donc, d’abord avec prudence vite modifiée en un désir enthousiaste. Des doigts, j’en fis le tour, lui caressant d’abord l’intérieur des cuisses. Puis, m’en approchant du centre, je lui palpai la corolle avec une patience insistante. Le spectacle m’affolait en me faisant bander comme jamais. J’y plongeai enfin… De la langue, je la léchai aussi profond que je le pus. Rassasié, je me reculai alors et, observant des plaques rouges apparues sur le torse, je souris. Sa respiration s’était faite maintenant rudement rapide et son regard plus suppliant que tout l’heure. Replongeant vers son antre, j’en aspirai goulûment le clitoris tout en le triturant de la langue. Dans le même temps, de la main droite, je lui enfonçais deux doigts dans la chair, alors que la gauche s’activait sur mon membre gonflé. Après quelques minutes qui s’écoulèrent en un rien de temps, je ressentis des contractions vaginales alors que de la cyprine me faisait craindre la noyade. Elle gémit plus fort et ce fut tout son corps qui se contracta alors ...
    ... que j’éjaculais sur la moquette. Un peu confus, je repartis à la découverte de son corps plus calmement. Tout en sueur, il était plus doux encore que précédemment. Après l’avoir complètement visité de mes caresses, je me redressai, remis mon pantalon et retournai à ma place. Elle respirait calmement maintenant, les yeux mi-clos mais ne bougeait toujours pas. Je lui dis, la voix un peu rauque : — « Rhabilles-toi et rassieds-toi sur la chaise. » Toujours gêné et sans réellement oser la regarder en face, j’attendis que ce soit fait avant de poursuivre : — « Je vais compter jusqu’à trois. Une fois à trois, tu te réveilleras, oublieras tout ce qui s’est passé et te sentira complètement sereine ; Un, deux, trois… » Elle rouvrit les yeux qu’elle avait fermés une fois assise et me sourit. Elle n’émit aucun son, se leva et se dirigea vers la porte. Une fois là, sans une hésitation, elle tourna la clef avant d’ouvrir et s’en aller. Ce n’est qu’avant de me quitter complètement qu’elle se retourna et m’annonça : — « Tu avais raison, cela décompresse bien… » Puis, après un silence : dans un clin d’œil : — « … mais c’est réellement dommage de devoir tout oublier ! De plus, tu devrais nettoyer ton sol, il est sale. » 
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