1. Une famille bien recomposée (11)


    Datte: 21/10/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... toutes les deux avec lui tous les soirs mais nos relations chacun de notre côté sont finis depuis longtemps. Nous ne couchons pas quand un de nous trois n’est pas là. Et de ce fait, Amélie est tombée follement amoureuse de nous, mais un peu plus de Norman…. — Mais c’est super ça ! Mais pourquoi Maman était-elle dans un état pareil ? — Attends, je ne t’ai pas tout dis. Alors, pour reprendre, Amélie est tombée éperdument amoureuse de nous, et un jour où l’on discutait d’enfants, de bébés après une de nos longues et ennuyeuses réunions, elle s’était mis en tête d’avoir un enfant. Cette idée la rendait malade, à tel point qu’elle décida de ne plus faire attention à ses périodes mensuelles et tomba enceinte de Norman. — Ah oui, quand même, je comprends le cri et les larmes de tout à l’heure. Manquerait plus que toi aussi, il t’ait mise enceinte, dis-je sur le ton de la plaisanterie, mais à la vue du visage de Marie, du rouge qui lui montait aux joues et son silence de mort, je compris que ma plaisanterie n’en était pas une au final. J’avais la mine déconfite et j’avais l’air d’avoir vu un fantôme. Le visage pâle, je restais sans rien dire. Elle me prit dans ses bras et m’embrassa d’un bisou sur le bout des lèvres comme pour me dire : « souviens-toi du commencement de tout ça ». La journée est passée. La nuit vient de tomber et je ne me souviens pas vraiment de tout ce qui s’est passé depuis l’annonce que m’a fait ma tante. Après un bon repas, nous restons à discuter de choses et ...
    ... d’autres autour de quelques verres de vin. Au bout d’un moment, les filles partent au salon et nous laissent tous les deux, Norman et moi, entre « hommes ». Un long silence règne dans la pièce, malgré les quelques tentatives de dialogues que nous essayons, en bref, d’instaurer entre nous, telles que notre scolarité, voir les profs qui nous rendent fous en ce moment, les potins intéressants entre nos potes et leurs copines, mais rien ne marche. Je pense qu’aucun de nous deux n’ose aborder le sujet mais la télé en bruit de fond, comme un signe du destin, nous rappelle au détour d’une émission du câble, notre situation et s’est lui qui commence la discussion. — Dis-moi, maintenant que ma mère vous a informé tous les deux, que penses-tu de tout ça ? — Je suis heureux que tu aies pu offrir à Amélie ce qu’elle attendait d’un homme. C’est peut-être trop tôt mais si elle le désirait autant, pourquoi l’en empêcher. — C’est vrai, mais après lui en avoir parlé, elle est toujours sur cette idée, elle ne veut pas le perdre, ma mère non plus, malgré que je sois pas sûr d’assumer d’avoir un enfant alors maintenant que j’ai mis ma mère et sa collègue en cloque, ça me rassure pas du tout. — Je vois ce que tu veux dire, mais n’ais pas peur, tu sais que tu auras toujours ta mère avec toi, elle en a déjà eu un, donc un deuxième, ça lui fera pas froid aux yeux, et elle aidera aussi Amélie à s’en occuper. — Oui, c’est certain. Les filles sont prêtes à aller se coucher. Nous les rejoignons. Marie, ...