Une famille bien recomposée (11) - Histoires de Sexe

Une famille bien recomposée (11)

... plus rapide tandis que moi, je crochète mes doigts dans ses cheveux pour lui donner un début de cadence à sa bouche pour qu’elle imprime un mouvement de va-et-vient sur ma queue. Elle comprend où je veux en venir et elle relâche sa main pour les poser toutes les deux sur mes fesses. Elle suit le mouvement que mes mains, tenant ses cheveux et sa tête, indiquent. Elle fait tout de même jouer sa langue autour de mon gland. Elle aspire mon sexe du mieux qu’elle peut et crache le surplus de salive qu’elle produit. Elle semble aimer ça puisque au bout d’un moment, c’est elle qui imprime son propre va-et-vient sur ma bite, et s’agrippe à mes hanches et c’est elle-même qui fait descendre et remonter sa tête. Elle se retire, me prend dans sa main droite et me branle rapidement, la salive sert de lubrifiant, et elle fait passer le bout de sa langue autour de mon gland tout en me regardant droit dans les yeux. Elle me défie du regard, à celui qui détournera ses yeux le premier. Ses caresses ont raison de moi et je m’étends de tout mon long sur le lit pendant que je me déverse dans sa bouche. Elle avale tout et finit par me reprendre dans sa bouche afin de me laver la queue de tout ce qu’il y reste, elle cherche même à me vider les dernières gouttes de sperme qui pourraient rester cachées. Elle finir par me dire : — Alors, beau chevalier, ai-je « nettoyé » votre « honneur » ? Ma « grâce » princière est-elle convaincante ? me demanda-t-elle en se redressant sur moi, s’asseyant sur mes ...

... jambes, me caressant le ventre. — Je ne peux l’affirmer comme cela, mais c’est un bon début je dirais. — Personnellement, je peux vous affirmer que votre épée est maintenant resplendissante. — Je vous en remercie, Princesse, de vous en être aussi bien occuper. Elle a besoin de soin vous savez. — Elle mérite un bon repos, en trouvez-vous pas, beau chevalier ? — Je trouve qu’elle a surtout besoin d’être bien entretenue, et pour cela, il suffit que je lui trouve un endroit où la ranger. — Je pense avoir trouvé l’objet de vos désirs. jyjiiwv — Ah bon ? — Oui, il se trouve que je possède le fourreau le plus beau, le plus solide, le plus chaud et accueillant pour une épée de cette envergure. — Dites-moi où le trouver Princesse, et je saurais vous en remercier. — Je n’en doute pas un seul instant, mais laissez-moi vous guider. Elle prend ma queue en main, elle pointa mon gland, impatiente, entre ses lèvres entrouvertes et humides. D’elle-même, Mathilde, sentant mon gland vibrer et pulser à l’entrée de son vagin, s’empala sur mon sexe vigoureux. Son fourreau était comme elle l’avait annoncé, chaud, accueillant et protecteur. Comme à chaque fois avec elle, je me sentais bien en elle, cette chaleur maternelle me remplissait de bonheur, elle n’était pas trop serrée et son vagin épousait parfaitement les courbes de ma bite. L’introduction de ma queue en elle lui arracha un gémissement de plaisir incontrôlé comme à chaque fois, elle ne pouvait s’y résoudre, nos deux sexes sont compatibles à ...