L'été de mes 18 ans 17
Datte: 22/10/2019,
Catégories:
Lesbienne
De plus en plus tentée par les tenues coquines, j'avais besoin d'argent pour financer tout ça. Le peu d'argent de poche que me donnaient mes parents ne suffisait pas. Je cherchai donc sur internet des personnes qui recherchaient des baby-sitters. Je ciblai bien sûr mes recherches sur des annonces de femmes : pourquoi ne pas joindre l'utile à l'agréable? Une annonce attira mon attention : « Jeune femme, 35 ans, devant souvent travailler tard le soir, cherche personne pour s'occuper de son fils de 5 ans ». Je téléphonai, la voix me sembla très agréable et nous primes rendez-vous pour l'après-midi. J'arrivai vers 15h chez Marianne Petit. C'était une belle brune au corps épanoui. Mes yeux s'attardèrent tout de suite sur sa poitrine avantageuse. Elle portait une jupe assez courte et un chemisier blanc qui laissait apparaitre son soutien-gorge noir et le sillon entre ses seins. Nous nous assîmes devant une tasse de thé et fîmes connaissance. Elle me raconta que le père de Paul, son fils, l'avait quitté l'année passée et qu'elle avait un peu de mal à s'occuper de l'enfant tout en travaillant. Il lui arrivait surtout assez souvent de travailler le soir jusqu'à 22h et il lui fallait alors quelqu'un pour donner à manger à Paul et le coucher. Nous nous mîmes d'accord sur les conditions. Puis nous allâmes chercher Paul à l'école maternelle. C'était un gamin très mignon, calme et je me dis que s'occuper de lui serait un vrai plaisir. Deux fois par semaine, j'allais donc chercher Paul à ...
... l'école, le ramenais chez lui, l'occupais, lui donnais à manger, puis le couchais vers 8h30, non sans lui avoir raconté une histoire. Les choses se passaient très bien. Ensuite je regardais la télé tranquillement jusqu'au retour de Marianne. Lorsqu'elle rentrait, nous papotions souvent un long moment avant que je ne rentre à la maison. Petit à petit, nos conversations devinrent plus intimes, elle me parlait du père de Paul, de ses flirts avec des collègues de bureau. Je restais pour ma part assez évasive sur ma vie sexuelle, craignant de la choquer en lui avouant mon homosexualité. Ce soir-là, lorsque Marianne rentra, sa bonne humeur me sauta aux yeux. Elle me raconta que son chef, très content de son travail, venait de l'augmenter. « Claire, nous allons fêter ça! », me dit-elle en sortant une bouteille de Champagne du réfrigérateur. Elle nous servit une coupe à chacune, puis bientôt une deuxième. Elle devenait de plus en plus volubile et moi, je me sentais de plus en plus désinhibée... Elle mit un CD sur la chaine, une musique entrainante envahit la pièce. Je me levai et me mis à me déhancher, Marianne se mit elle-aussi à danser. Nous nous trémoussâmes ainsi pendant un bon quart d'heures. Je sentais ma robe en coton coller dans mon dos. N'y tenant plus, je la fis passer par-dessus ma tête, je ne portais plus qu'une culotte et un soutien-gorge en dentelle blanche ajourée. Je me remis à danser de plus belle. Je vis que Marianne me détaillait de la tête aux pieds, avec un intérêt ...