1. L'été de mes 18 ans 17


    Datte: 22/10/2019, Catégories: Lesbienne

    ... certain. « Tu n'as pas trop chaud? », lui demandais-je, « avec ce jeans et ce pull? » « Hou, si, je suis en nage! Je vais faire comme toi ». Elle fit passer son pull par-dessus sa tête, puis déboutonna son jeans et le fis glisser à terre. Elle portait un ensemble culotte et soutien-gorge en dentelle noire. Elle se remit à danser. J'avais sous les yeux sa poitrine superbe qui tressautait au rythme de la danse, je voyais les aréoles larges distinctement sous le tissu fin et cela me troublait énormément. Je ne pus résister à l'envie d'ôter mon soutien-gorge afin de voir ce que Marianne allait faire. Elle ne dit rien mais je sentis ses regards sur mes seins dont les pointes étaient déjà toutes raides d'excitation. « Tu es très impudique », me dit-elle d'une voix changée. « Oh, excuse-moi, je t'ai choquée? » « Non, non, mais tu m'obliges à faire comme toi! » Elle dégrafa alors son soutien-gorge. Sa poitrine était vraiment fabuleuse, volumineuse et pourtant elle ne pendait absolument pas. J'avais du mal à en détacher mes yeux. De plus en plus excitée, je fis glisser ma culotte à terre, dévoilant mon minou imberbe. Je vis son regard se troubler et avec un soupir elle descendit aussi sa culotte et j'aperçus les poils noirs assez touffus qui recouvraient son mont de vénus. Nous continuâmes à danser quelques minutes et puis, n'y tenant plus, je lui dis : « Pfff, je prendrais bien une douche! Je suis trempée ». « Bien sûr! », répondit-elle en me prenant la main et en m'entrainant dans ...
    ... la salle de bains. Il y avait une douche à l'italienne et je m'empressai d'ouvrir les robinets pour jouir d'un peu de fraicheur. Je vis qu'elle restait là debout à me regarder. Je lui dis : « Ben, viens donc, il y a assez de place pour deux! » Elle me rejoignit alors. Je décidai d'agir et lui dis doucement : « Tourne-toi, je vais te savonner le dos ». Elle m'obéit et je me mis à savonner ses épaules, son dos, puis mes mains descendirent sur ses fesses. Je la sentis frémir, mais elle ne dit rien. Je m'enhardis alors et me mis à les masser doucement, descendant sur le haut de ses cuisses. Petit à petit, ma main s'immisça dans son sillon, frôla plusieurs fois son petit trou avant d'atteindre les rivages de son sexe. Mon autre main pesa sur son épaule, la forçant à se pencher en avant et à s'appuyer sur la paroi de verre. De mon pied je lui fis ouvrir les jambes un peu plus et mes doigts coururent dans sa toison. Puis mon index s'immisça entre les lèvres de son minou : il dégoulinait de mouille. Je me mis à la doigter doucement, puis mon majeur rejoignit l'index et elle se mit à gémir. J'appuyai mon corps nu contre le sien et ma main gauche vint se poser sur sa poitrine. Je massai ses seins lourds en insistant de plus en plus sur les pointes que je me mis à presser et tordre entre mes doigts. Elle poussait des cris plus aigus maintenant. Ma main gauche descendit sur son mont de vénus. Tandis que de la droite je la doigtais de plus en plus rapidement, ma main gauche se mit à agacer ...