1. Le plaisir à l'école


    Datte: 09/09/2017, Catégories: f, fh, ff, école, fsoumise, fdomine, contrainte, revede, fsodo, jouet,

    ... totalement faux : c’est le diplôme que je prépare. J’ai simplement omis les autres enseignements. Il sait aussi que c’est une école privée, uniquement pour les filles. Ça le rassure quand nos séparations sont un peu plus longues. Elle me présente à d’autres « deuxième année ». J’apprends aussi à mieux connaître les filles de ma promo. Prises par le rythme des journées, on passe à côté les unes des autres. C’est un moment très agréable, une super soirée. De belles rencontres ; j’avance dans mes recherches, et surtout il y en a deux qui doivent être vertes de rage. « Donc, il y a bien des hommes ici ; au moins un en tout cas. Il ne devrait pas avoir accès à l’école. Est-ce qu’Amaryllis ramène son mec ? Si elle veut enseigner dans cet établissement, pourquoi prendrait-elle autant de risques ? » Il me manque quelques pièces pour finir le puzzle, mais j’avance. Le lendemain matin, j’essaie d’être la plus naturelle possible avec Estelle. Elle ne doit pas se douter. Elle n’a pas l’air à l’aise. Je pourrais dire qu’elle me fuit presque. L’après-midi, étalée sur ma couette, je lis en diagonale les ouvrages qu’on nous a conseillés. Il y a du bon et du moins bon. Ou plutôt des choses à mon goût et d’autres que je qualifierais au mieux d’étranges. Quoi qu’il en soit, ça réchauffe très bien. Il faut que je fasse une pause, la marmite va exploser. Marie arrive à point nommé. — Salut. Je te dérange peut-être ?— Salut ; pas de tout, au contraire.— Toujours partante pour une petite balade ...
    ... ?— Avec plaisir.— Couvre-toi un peu, il fait frais dehors.— Oui maman. J’enfile un manteau ; en route. Elle passe chercher son sac dans sa chambre puis m’amène dans un garage à vélos dont je ne soupçonnais même pas l’existence, dans une partie de l’école qui m’est parfaitement inconnue. — Tu sais en faire ? Je suis désolée, ils n’ont pas de roulettes.— Si je connaissais le chemin, je te mettrais dans le vent avec mon coup de pédale dévastateur. Le chemin contourne une petite forêt. Nous arrivons assez vite devant la maison en question. Comme l’école, une vieille bâtisse en pierre, en parfait état. Nous posons nos vélos et nous retrouvons dans l’entrée. Deux escaliers partent vers les étages. Nous allons au premier. — C’est ici. Bienvenue chez moi. Marie tourne une clef dorée dans la porte, me fait entrer et referme derrière moi. L’espace est très joli, mais ridiculement petit. Quelques mètres carrés. Rien qu’une armoire et un fauteuil. — C’est… joli…— Merci ; c’est le dressing. La chambre est à côté. Ça sert aussi de sas.— Je comprends mieux…— Attends-moi là, je vais le voir ; je reviens. Tu peux t’asseoir, fais comme chez toi. C’est un peu long. Si ça continue, je vais finir par être obligée de fouiner. Que contient-elle, cette armoire ? Probablement rien d’intéressant, mais je suis curieuse : je n’aime pas ne pas savoir. La porte s’ouvre ; tant pis, à quelques secondes près… Marie est entièrement nue. Je laisse échapper un petit cri de surprise. — Chuuuuut ! Ne fais pas un ...