Étranges premières années de mariage
Datte: 23/10/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
cocus,
inconnu,
oncletante,
prost,
enceinte,
poilu(e)s,
amour,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
jeu,
journal,
... pas ses règles. Elle fut soucieuse toute la semaine, se retenant de m’en parler, se tranquillisant devant ma sérénité affichée. Je faisais comme si de rien n’était. En fin de semaine, nous nous sommes rendus ensemble à la pharmacie pour acheter un test de grossesse. Je la tenais par la main, qu’elle serrait très fort. Je lui dis que peut-être « mon » bébé encore minuscule s’agitait dans son ventre, et quand le test fut positif, elle fut vraiment soulagée par mon attitude, et laissa éclater sa joie. — Toi qui étais si sûr que je risquais rien les premiers mois ! fit-elle en riant. Bravo ! Révises tes cours… Je les connaissais encore par cœur… mais ne lui dis pas. Les deux premiers mois, elle fut comme à son habitude. Henri ne venait plus, en tout cas plus pour la même chose. Son petit ventre se bomba légèrement, ses seins gonflèrent un peu, elle était plus belle que jamais. Puis sa libido s’activa au troisième mois, elle devint bien plus gourmande encore que d’habitude. — J’ai envie de faire des folies, dit-elle— Hi hi ! Je vais devoir demander de l’aide ! Ah la la, mais où vais-je trouver un homme mûr comme tu les aimes puisque tu as repoussé Henri au prétexte de ta grossesse ?— Idiot ! Va le chercher. Pas sûr qu’il m’aime comme ça, mais il devra s’en contenter…— Il va adorer, comme moi ! Henri redevint son amant, un amant assidu. Il devint cette fois un peu plus complice avec moi et nous nous entendions bien pour la faire jouir. Il ne venait plus de lui-même, c’est moi ...
... qui allais le chercher. Il ne sut rien de nos jeux à Nantes, c’était une bulle secrète entre Elodie et moi, rien qu’à nous deux. Son ventre enfla, elle se fit plus tendre encore qu’elle ne l’avait jamais été, et je ne peux pas décrire l’état d’excitation, moi qui suis si cérébral, qui s’emparait de moi quand je la voyais enceinte (peut-être !) d’un homme racolé sur le trottoir de Nantes, gémir en se faisant prendre en levrette par notre propriétaire devant son mari, sur la serviette d’Henri absorbant les inévitables débordements de ce gros producteur de sperme. Le souvenir de nos jeux nantais était permanent dans ses délires, donc dans les nôtres, mais jamais elle ne fit allusion à la paternité. Elle aimait quand je fatiguais fouetter ma libido (je peux souvent, mais pas tout le temps quand même…) en utilisant les mots qui m’excitaient. Lorsqu’elle demandait à son mari cocu de se venger d’avoir eu des clients, elle savait ce qui allait advenir. Quand elle me menaçait d’aller seule à Nantes assouvir des besoins que son mari cocu ne pouvait satisfaire, ma bite se dressait toute seule, même si mes bourses étaient sèches (je n’avais pas celles d’Henri). Au sixième mois, grâce à la gentillesse de son gynécologue, elle fut en congé de maternité. Seule chez nous jusqu’au terme, elle s’adonna jusqu’au huitième mois à son passe-temps favori avec Henri qui s’épuisait, comme moi. Le neuvième, son mal de dos la rendit plus sage. Elle n’avait pris que de la poitrine, et du ventre, rien ...