Étranges premières années de mariage
Datte: 23/10/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
cocus,
inconnu,
oncletante,
prost,
enceinte,
poilu(e)s,
amour,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
jeu,
journal,
... Epatante… Cette coquine prévoyait tout. Mère attentive, épouse amoureuse, elle savait se montrer perverse et calculatrice. La mamie garda avec joie sa petite fille pour trois jours, nous laissant passer deux nuits à Nantes. — Oh, j’ai envie, j’ai envie, j’ai envie… fit-elle toute excitée quand on fut enfin dans la voiture, après avoir laissée Céline chez sa mère à Tours.— Eh, tu ne peux plus t’en passer on dirait ? fis-je amusé— Mmmm, je peux me passer de tout. Mais pourquoi s’en passer, c’est si bon, si pimenté, si.. si tout ! Tu me disais hier que toi aussi tu étais impatient : un an, tu te rends compte, un an ! Tu n’as plus envie ? dit-elle en se tournant soudain vers moi.— Hi hi ! On ne serait pas là sinon… Et puis, il faut bien que tu entretiennes mon excitation de « cocu » chéri, non ? Avec Henri, je finissais par ne plus m’en rendre vraiment compte… Instantanément, elle percuta. En insistant sur le mot, elle sut que j’avais envie qu’elle me pique. — Mon chéri, mon homme de ma vie. Ta petite femme va te faire « cocu » avec de beaux messieurs mûrs, plusieurs, peut-être beaucoup qui sait ? On a deux nuits, trois jours sur place. Et puis.. j’y pense… on fera du shopping avec l’argent que j’aurai durement gagné. Oh, idée ! Je te ferai un beau cadeau, avec l’argent que m’auront donnée tous les hommes qui vont te faire cocu. Tu le garderas, et cela t’excitera chaque fois que tu l’utiliseras…— Eh, mais tu es une vraie putain… ?!— Ta petite putain à toi. Ta petite ...
... prostituée.— Mais tu prends la pilule…— Fais comme si je ne la prenais plus… Deux soirées de rêve, trois jours étourdissants. Plus belle que jamais, ma petite putain s’est à nouveau prostituée devant moi, toujours avec le même genre d’hommes, quarante, cinquante ans, solides, virils, pas défraîchis. Quatre le premier soir, quatre autres le second. Un feu d’artifice, heureusement sans incident. Dans mon placard, j’ai vu ma petite femme s’ouvrir nue aux huit hommes qui l’ont consommée, engluée, inondée, souillée. J’ai entendu ses plaintes étouffées, ses gémissements retenus, et au moins trois fois ses cris rentrés, mâchoires serrées. Ils l’ont prise en missionnaire ou en levrette, et un a voulu la prendre à cheval sur lui. Je les ai entendus gémir quand ils éjaculaient librement en elle. Elle s’est excitée, a beaucoup joui, me piquant entre chaque client avant de redescendre. Habitué à la posséder pleine de sperme, j’ai pu me délecter de son odeur musquée, de ses souillures après le dernier client de chaque soir. Comme l’an passé, elle redevenait instantanément cette femme adorable, tendre et douce de toujours. Elle m’offrit un nouveau téléphone portable, avec son argent durement gagné, rappela-t-elle. — Comme ça, quand tu l’utiliseras, tu penseras avec quoi je l’ai acheté mon chéri. Le deuxième soir, alors qu’on avait fait l’amour après les autres et qu’on se serrait tendrement, se laissant aller aux confidences, nous avons échangé sur notre vie de couple, et notre avenir. — D’accord, ...