1. Étranges premières années de mariage


    Datte: 23/10/2019, Catégories: fh, hplusag, extracon, cocus, inconnu, oncletante, prost, enceinte, poilu(e)s, amour, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme jeu, journal,

    ... Elle a souri. — Ce n’est pas raisonnable. Et tu sais que je suis allergique au préservatif… alors si je tombais enceinte de toi, tu te rends compte ? Un bébé de toi ?— Oh oui, je te ferai plein de bébés ! J’étais aux anges. Je bandais dur. Et si je la faisais engrossée par son oncle Daniel ? Qu’il serve au moins à quelque chose celui-là. Si elle aimait les vieux et me cocufiait avec (pour mon grand plaisir il est vrai), c’était de sa faute à celui-là. — Je ne sais pas quoi te répondre.. Tu n’as pas de copine ? Beau comme tu es ?— À côté de toi, elles sont toutes laides. Je te veux toi !— Comme quand tu m’as serrée le soir de mon mariage en dansant ? J’ai senti ta bosse, j’ai mouillé ma culotte, le soir de mes noces, tu te rends compte ?… Et Loïc m’a prise toute excitée, je l’étais de lui, mais aussi de toi…— Inventes un stage, quelque chose, à Tours, ou voyons nous à l’hôtel à Angers si tu préfères.— Non, je préfère en rêver. Et puis tu serais trop heureux d’humilier Loïc, et Loïc, je l’aime… Elle raccrocha, malgré les protestations de son oncle. Elle me regarda incrédule, puis ouvrit les bras. Je m’y suis précipité. Pleine de sève, elle était très excitée et nous avons déliré en nous caressant avant de nous prendre avec fougue. — Je voulais juste jouer au téléphone.. Finalement, je n’ai pas envie de briser mon fantasme. Qui sait ensuite quel fantasme me viendrait ? S’il y en a qui revient. Elle me serrait avec tendresse. — Celui là, il me plait, dis-je. Pas sûr d’aimer ce ...
    ... qui le remplacerait ? Pas de jeune comme moi (jalousie), pas de noir (complexe), pas de partouze (obscénité et danger), pas de… Tu vois, finalement on se complète bien.— Heureusement !— En tout cas, tu mouillais comme une fontaine… dis-je amusé.— Tu me caressais…— Menteuse ! Elodie arrêta la pilule fin avril 2004. Benoît nous a rappelés pour ses vacances cubaines et nous a laissés l’appartement. Ce fut le mois le plus torride. Nous sommes allés deux fois à Nantes, deux nuits chaque fois. Ce mois là, j’avais en poche sa plaquette de pilules, elle s’est fait posséder chaque fois par trois ou quatre clients, et bien sûr Henri son abonné, le taureau qui a pu lui aussi, sans le savoir, l’inonder et la féconder de son sperme surabondant. Si je l’ai possédée plus qu’eux réunis, je n’ai pas une seule fois éjaculé en elle ce mois là. Je les ai tous entendus grogner, parfois rugir, quand ils se vidaient en elle, quand ils ont expulsé leurs spermes, leurs semences dans son ventre fertile. C’est féconde qu’elle s’est donnée à eux, comme je le voulais, fou que je suis, et elle s’est fait à nouveau engrosser. Octobre 2004. Elle est actuellement enceinte de cinq mois, superbe, enjouée, pétillante, chaude, gourmande, amoureuse, et paie toujours en nature le propriétaire qui en profite au maximum avant de la perdre, car le logement devient trop petit et on le lui a dit. À l’heure où je termine cela, elle doit dormir, repue. Février 2005. Cédric vient de naître. Bonheur ! Je suis encore seul ...