Étranges premières années de mariage
Datte: 23/10/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
cocus,
inconnu,
oncletante,
prost,
enceinte,
poilu(e)s,
amour,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
jeu,
journal,
... rien d’autre. — Je n’ai pas couché avec lui si c’est ce que tu veux vérifier…— Il t’a embrassée ?— Oui, embrassée, caressée…— Et toi ? Tu l’as touché ?— Oui… Elle m’embrassa, comme toujours quand elle était embarrassée. — Si tu es jaloux, je le comprendrais, fit-elle.— Tu l’as sucé ?— Un peu…— Il a éjaculé ? Elle ne répondit pas. Je caressai avidement son sexe humide et surmontait péniblement mon angoisse. L’excitation se fit enfin la plus forte, et je me sentis libéré, surexcité. — Ma petite putain me trompe en suçant le propriétaire ? Ma petite salope a fait une pipe à un autre homme que moi ? Dis-moi, il en a une grosse ? Elle fouilla dans mon pantalon et saisit ma queue, dure comme du bois. — Grosse, mais pas plus que la tienne. Par contre, il a de très grosses… couilles, comme un taureau ! Cela fait bizarre. Et quelle quantité il a expulsé ! Il n’est peut-être pas normal de ce côté là… En tout cas, ça m’a excitée comme une folle.— Tu pars avec moi au travail demain ? Elle se recula, bras tendus autour de mon cou. — J’ai rendez-vous demain après-midi pour un entretien. Si tu le veux toujours, je resterai demain matin ici…— C’est lui qui viendra, ou toi qui iras ? demandai-je la gorge nouée.— Chéri… c’est toi qui as dit que tu voulais ça dans nos draps, mais si tu préfères…— Non, c’est très bien ! dis-je en l’interrompant. Si tu as envie comme ça c’est le principal. Dis-moi, toi, des mots crus s’il te plaît, j’en ai besoin, là, maintenant… dis-moi que tu es une salope… ...
... C’est à ce moment que j’ai remarqué que son chemisier était taché. Cela m’a fouetté, et a définitivement dissipé toute cette angoisse paradoxale qui étouffait une fois encore mon excitation. Je l’ai prise le soir, et surtout le matin avant de partir. Elle allait juste après faire l’amour avec Henri qui piaffait d’impatience en attendant de prendre ma place toute chaude, le salaud, et je voulais qu’elle garde les traces de moi. C’était stupide, mais je l’ai voulu comme ça. Ce fut la semaine la plus étrange de ma vie. Je vivais un peu cela comme un rêve. Elodie a reçu Henri chaque matin, et deux après-midi juste avant que je ne rentre. Moi qui croyais qu’à partir de quarante ans on ne pouvait plus souvent ! Chaque midi, elle me téléphonait et me racontait ce que je voulais qu’elle raconte, pudiquement ou crûment selon mon degré d’excitation, c’est moi qui décidais. Le lundi soir, elle était venue me chercher au travail après son entretien. Elle m’a serrée fortement et j’ai éprouvé un sentiment très étrange de sentir ce corps si connu et si adoré, que je savais avoir été possédé la matin même, pour la première fois, par un quinquagénaire viril qui l’avait souillée. Elle serrait tendrement son cocu de mari et j’ai eu terriblement envie d’elle. Le plus bizarre fut le premier soir où je rentrai juste après qu’Henri ait regagné son appartement. Il m’évitait alors que Elodie lui avait dit dimanche que j’étais d’accord et que cela m’excitait qu’elle me fasse cocu avec lui. Elle était ...