Étranges premières années de mariage
Datte: 23/10/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
cocus,
inconnu,
oncletante,
prost,
enceinte,
poilu(e)s,
amour,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
jeu,
journal,
... spasmes et de tremblements de son menton. Elle préférait de loin la position du missionnaire, lui permettant son jeu favori d’embrasser à pleine bouche. En levrette, elle lançait souvent une main cherchant à toucher celles posées sur ses flancs ou ses hanches. J’aimais la prendre ensuite, souillée, et laissait la place à Henri quand il en voulait encore. Elodie était aux anges : être prise ainsi plusieurs fois de suite lui procurait des orgasmes à répétition. La serviette était parfois à tordre et… nous ne payions plus de loyer. Après trois mois de chômage, elle retrouva un emploi de comptable, bien payé, dans un grand magasin. Notre vie sexuelle ne s’assagit pas pour autant. Ce qu’elle ne pouvait plus faire le matin, elle le refaisait au moins deux soirs par semaine, parfois avec nous deux, à la file. Elodie n’avait pourtant pas changé. Elle restait cette adorable épouse, tendre, affectueuse, complice, pleine d’humour et adorant le mien. C’est alors qu’un soir où exceptionnellement elle avait repoussé Henri venus nous rejoindre dès notre arrivée en lui demandant de nous laisser seuls, elle me reparla de son oncle Daniel… J’ai eu un pincement au cœur, une bouffée de jalousie. Il l’avait contactée par téléphone, l’avait invitée à passer seule un week-end chez lui, disant s’être séparé de sa femme, la tante Nicole, pourtant si gentille. Elodie m’avoua avoir été vivement excitée par cet appel mais avoir été très déçu par les propos qu’il lui avait tenus à mon endroit. S’il ...
... avait envie d’elle, il jouissait surtout par avance de me cocufier, disant que je ne la méritais pas, qu’ils allaient s’éclater dans mon dos alors que je resterais seul chez nous, et d’autres méchancetés. Elle avait failli lui répondre que j’étais un cocu heureux et excité, mais se reprit. C’était trop personnel. Elle avait conscience qu’il me voulait du mal, et cela a cassé son désir. Elle déclina l’invitation en lui disant que c’était trop tard, qu’il aurait du le lui proposer avant son mariage, et qu’elle m’adorait. Puis elle m’embrassa amoureusement. — Je ne te ferais jamais du mal, me dit-elle. Nos jeux sexuels sont excitants, je fais la putain par jeu, j’ai un client régulier, je te fais « cocu » sans te trahir puisque tu aimes bizarrement cela et qu’on le veut comme ça, tous les deux, mais je ne ferai rien dans ton dos.— C’est pourtant ton premier fantasme, et tu éprouves du désir pour lui.— Oui, mais pas comme ça. Tant pis pour lui. Je t’aime. Dis moi.. on forme un couple bizarre nous deux, non ? Tu es le meilleur des maris, quelle chance j’ai. Ce soir-là, nous avons fait l’amour tendrement, en amoureux, poussant nos confidences, nos désirs. Elle me parla du bébé qu’elle voulait de moi. Elle me demanda si je n’éprouvais vraiment aucune jalousie vis à vis d’Henri. — Tu vois, quand on n’avait que le gode pour jouer, je disais que c’était mes copains, notamment Thierry qui en pince pour toi. À ce moment là, j’avais vraiment envie que tu l’acceptes à mes côtés dans ton lit. ...