1. Une secrétaire très dévou&eac


    Datte: 24/10/2019, Catégories: Anal Masturbation

    Claudine était le type même de la secrétaire traditionnelle, tenue impeccable, tailleur strict de bon aloi, la jupe juste au-dessus du genou, de jolies chaussures. Un chemiser discret mais avec la touche nécessaire de féminité. Bref, la prestance et l’uniforme de son emploi.Une attitude réservée, sérieuse, professionnelle. Une compétence sans faille et une disponibilité permanente. Le tout sans guère de compliment ou de remerciement (alors qu’elle le méritait chaque jour, subissant ordres, contre ordres, changements, rendez-vous sans prévenir, etc…) avec le sourire de son dévouement.Brune aux yeux bleus, les cheveux mi-longs, de fines lunettes, la trentaine célibataire, 1,65 m. environ, des formes bien proportionnées, Claudine n’échappait pas à cette image et d’ailleurs ne faisait rien pour cela, bien au contraire.Elle se démarquait ainsi des autres employés, instaurant (involontairement ?) une certaine distance, constituant le seul trait d’union pour facilement faire la liaison entre l’extérieur et la sphère de son patron dont elle était le fidèle et inexpugnable parangon. C’est dire que chacun devait gagner ses bonnes grâces pour obtenir quelque avantage, dont celui d’une entrevue avec son vénéré employeur. Quiconque se serait avisé de venir sans rendez-vous aurait été dans l’obligation de lui passer sur le corps. On peut dire que si certains employés de l’entreprise auraient volontiers fait ce sacrifice, ce n’était pas le genre de la "maison Claudine".Lorsque je ...
    ... décidai, à l’occasion, faisant fi de son rempart, d’aller au-devant de mes collaborateurs, me plonger personnellement au sein de l’entreprise, bref de provoquer ce contact qu’elle mettait son énergie à sélectionner sévèrement, j’avais l’impression de la contrarier et de mettre à néant tous ses efforts. Je mesurai alors, à sa mine pincée et réprobatrice, l’ampleur de mon hérésie.Mais elle retrouvait le sourire lorsqu’elle devait intervenir, sans souffrir la moindre discussion de ses correspondants, pour annuler un rendez-vous, un restaurant, un entretien ou à l’inverse appeler un interlocuteur important pour lui dire que j’étais en mesure de le recevoir.A gérer mon temps, mes interlocuteurs et mes besoins, je m’apercevais qu’elle gérait en réalité l’essentiel de ma vie.Mais je me fis aussi un beau jour la réflexion, sans qu’une telle idée m’ait auparavant effleuré l’esprit, qu’un domaine lui échappait complètement, à savoir mes relations intimes et amoureuses.Célibataire aussi, tout comme elle, je ne pouvais éviter que divers messages, réservations de week-end, locations de voiture, ressortent de sa compétence et du champ de ses interventions, mais elle n’avait jamais formulé la moindre observation sur tel ou tel aspect de ma conduite, et Dieu sait si, quelquefois, elle avait mis son talent à circonscrire diverses récriminations de toutes sortes, de la culotte oubliée à la croyance qu’une aventure nocturne équivalait à une promesse de mariage.Son tact, sa diplomatie, son entregent ...
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