1. Une secrétaire très dévou&eac


    Datte: 24/10/2019, Catégories: Anal Masturbation

    ... l’autre, remontant doucement sur ses cuisses gainées de ses bas légèrement plissés.— Oh Claudine, j’adore les vrais bas, vous savez, quand ils plissent aux chevilles, sur la cuisse, et qu’il faut les redresser en refixant les jarretelles… Hhhmmm, vous êtes très excitante…— Je le sais bien, Monsieur…— Comment cela ?— Eh bien, je connais le mot de passe de votre ordinateur, Monsieur et j’ai pu voir ce que vous recherchiez sur internet..— Ah oui ? et quoi ?— Justement, j’ai noté que vous aviez marqué dans vos favoris des sites de dessous, de bas, de porte jarretelles, vous êtes un fétichiste du bas, Monsieur.— C’est vrai Claudine…Donc euh, vous vous voulez dire que vous les portez pour moi Claudine ?Pour toute réponse, elle se contenta de sourire…En moi-même, je me dis qu’elle avait du sûrement voir l’autre grande catégorie de mes sites préférés mais je poursuivis mes caresses sur ses jambes, jouant avec la lisière des bas et les jarretelles, glissant mes doigts autour et dans les bas, caressant la douceur de l’intérieur du haut de ses cuisses, qu’elle écartait légèrement, délicieusement impudique.— Euh Claudine..— Oui ?— Vous saviez que je rêvais de voir vos seins ?— Faites comme chez vous Monsieur, je suis votre secrétaire personnelle, me répondit-elle en dégrafant sa veste de tailleur.Je m’attachai alors à défaire les boutons de son chemisier de fine baptiste brodée, lentement, l’un après l’autre, découvrant peut à peu le sillon de ses seins palpitants d’excitation, mis ...
    ... en valeur par ravissant un soutien-gorge de dentelle blanche, quart de balconnet, qui laissait libres ses mamelons.Je demeurai ainsi sans bouger, admirant les beaux seins de ma secrétaire. Je passai sur les tétons offerts un doigt léger, mesurant sur excitation à leur dureté. Claudine ne bougeait plus, offerte, tendue, mais souriante, presque triomphante.— Vous êtes très belle Claudine…Je repris ma caresse sur ses cuisses glissant ma main jusqu’à ce que mes doigts touchent sa culotte. Je la caressai ainsi lentement, mes doigts à plat caressant sa cuisse et mon index frottant sur sa fine culotte appuyant de plus en plus. Imperceptiblement, ses jambes s’écartaient et son bassin ondulait, à la rencontre de ma main.N’y tenant plus, je relevai sa jupe sur ses hanches, avec un peu de peine car elle serrait parfaitement son bassin.Face à moi, débout, elle attendait, je pris alors sa jolie culotte de chaque côté et la descendis très lentement sur ses cuisses. Je la laissai ainsi, à hauteur des genoux, et regardai sa toison noire, bien taillée.— Tout ceci me paraît fort mignon Claudine. Puis-je voir le côté pile ?Elle se retourna sans hésitation, me montrant ses fesses bombées, charnues et fermes. J’y mis la main pour une rapide caresse, appréciant la courbe et la souplesse, promesses d’agréables flâneries et d’énergiques cavalcades.— Venez vous asseoir ici, Claudine lui enjoignis-je, en lui montrant mon bureau encombré de papiers…— Oh Monsieur.. vous croyez ?— Mais certainement ...
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