1. Randonnée avec ma grande cousine infirmière (7)


    Datte: 10/09/2017, Catégories: Erotique,

    ... faire, je frotte mon front contre sa joue… ma bouche dépose un baiser dans le creux de son épaule… je sais comment ça va finir, mais je ne résiste pas, je n’attends que ça… Mon Jeannot, mon amour… oh non… Mon mec… qui me renverse sur le dos, très délicatement. Il me couvre de baisers. Mon visage, mon buste, mes seins, mon ventre, mon pubis…ooooh…. mes jambes, mes pieds. Il dévore mes pieds, suce mes orteils ! Il s’est accroupi face à moi, il pose mon pied droit sur son entrejambe. Je sens son sexe dressé. Je commence à le masser légèrement, le caresser de mon pied… je titille ses couilles qui dépassent entre ses cuisses… Jeannot soupire, il gémit. Mon pied remonte, mes orteils caressent son ventre, massent son torse, chatouillent son cou, câlinent sa joue… Il reprend mon gros orteil dans sa bouche, le suce, puis il lèche tout mon pied… avidement. Moi aussi je commence à être très sensible à ce petit jeu… je me touche les seins, titille mes tétons. Ma chatte est trempée… Jeannot est encore plus excité, il continue à dévorer mes pieds, l’un après l’autre… Puis je replie mes jambes et écarte les cuisses… Jeannot comprend l’invitation et s’allonge entre elles... Nos bouches fusionnent… Nous ne cessons de nous caresser, de nous couvrir de baisers…. Enfin, je lui fais signe en inclinant légèrement mon bassin… Jeannot guide son sexe vers mon vagin. Cette fois-ci tout est très lent, extraordinairement tendre. Nous ne cessons de nous embrasser alors qu’il commence à battre doucement ...
    ... le fond de mon antre… Notre accouplement dure des heures… du moins c’est ce qu’il me semble. C’est divinement bon… tellement tendre… une communion… Finalement, Jeannot accélère, me pilonne plus violemment, se redresse sur ses bras et jouit en moi. Trois longue secousses dans un râle étouffé… Alors c’est le miracle. Son éjaculation déclenche en moi un orgasme étrange, lent, profond, qui monte comme une énorme vague venue du large et qui submerge mon corps et mon âme… je crie…. longtemps… longtemps… un cri silencieux… puis un soupir expulsé par mon corps, dans une courte et violente secousse. Tout mon corps tremble…. Enfin, je reste immobile, en extase, pendant de longues minutes. Jean est affalé sur moi. Je lui caresse le visage, le dos, les cheveux... Je nous recouvre du sac de couchage. Nous sombrons bientôt dans le sommeil. ********** Je me réveille. Il fait déjà bien jour. Cécile est dans mes bras, lovée contre moi en chien de fusil. Je l’embrasse. Elle ouvre les yeux. - Ho la la, quelle heure est-il ? On doit être hyper en retard ! - Bonjour ma Cécile ! - Ah oui, désolé mon Jeannot. Bonjour. Elle se retourne vers moi et dépose un baiser sur mes lèvres. - Mais on a déconné là mon bonhomme. Il doit être au moins 9 heures. Il faut qu’on décolle vite. Elle se lève et fouille dans son sac à la recherche de ses vêtements. Je ne peux m’empêcher de rester la regarder. Son cul penché, face à moi…. Mon dieu… - Allez bouge-toi Jeannot, au lieu de rester mater mon cul ! Je sais que tu ...
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