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Randonnée avec ma grande cousine infirmière (7)
Datte: 10/09/2017, Catégories: Erotique,
... contre son sexe, Cécile saisit mon poignet…. « Non, non, mon Jeannot, s’il te plaît mon amour, pas ça, je ne veux pas. Je t’en prie, arrête, arrête… » Elle pleure. Elle pleure à chaudes larmes. Elle m’a appelé « mon amour ». J’arrête. Ma main quitte son entrejambe, je laisse sa culotte remonter. Cécile s’effondre. Elle s’allonge sur le dos, je reste allongé, la tête sur son bas-ventre. Elle pleure doucement, elle continue à me caresser la tête… « Pardon mon Jeannot, pardon, je suis désolée mais je ne peux pas… il faut qu’on arrête…pardon mon grand…». Je me rapproche de son visage. Je la couvre de baisers, buvant ses larmes. « C’est rien ma Cécile, c’est rien… je t’aime… je t’aime… je t’aime… ». Enfin, séchant ses larmes, Cécile me dit « Merci Jeannot, merci de m’avoir écoutée. Tu es vraiment formidable..... Moi aussi je … Mais c’est impossible. Impossible. Complètement impossible…». Nous finissons par nous relever et manger notre pique-nique. Il nous reste 10 kms. Nous sommes fatigués et pressés d’arriver à l’hôtel. La descente me scie les genoux. Personne ne dit rien, nous nous contentons d’avancer. A 15 heures, nous apercevons Cauterets. Il nous reste environ une heure. Nous prenons le temps de prendre un rapide goûter. Ce soir, c’est un vrai ...
... restaurant qui nous attend. Chacun mange en silence. Je regarde Cécile, elle me sourit. - On est bientôt arrivés mon Jeannot. C’était une belle randonnée. - Oui, magnifique. Ce coin est vraiment sublime. J’y reviendrai. - Il y a plein d’autres circuits sympas à faire par ici. Du côté de Gavarnie, ou vers les lacs de Néouvielle, par exemple. C’est vraiment le paradis des randonneurs. - Alors on recommence quand ? roxriij - Je ne sais pas. Mais je t’assure que je serais très heureuse de repartir avec toi. Ici ou ailleurs. Tu es bon marcheur, on se comprend vite et on sait respecter l’autre, c’est vraiment très agréable. Indépendamment de ce qui s’est passé entre nous cette fois-ci. Et même pendant l’année, si j’arrive à programmer un week-end de marche. Si tu veux je te préviendrai. - C’est vrai ? Ce serait trop cool… Mais on n’est pas censés faire comme si on ne se connaissait pas une fois rentrés à Paris ? - Arrête, c’est pas ce que j’ai dit. On peut continuer à se voir… si on reste sages. - Ah d’accord… Mais j’aurai quand même le droit de voir tes fesses et tes seins ? Parce qu’ils vont sacrément me manquer… - Arrête, petit cochon. Tu les connais déjà par cœur. T’as qu’à avoir bonne mémoire… Bon, en attendant, on les fait ces derniers mètres ? (à suivre)