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Randonnée avec ma grande cousine infirmière (7)
Datte: 10/09/2017, Catégories: Erotique,
... penseras plus à moi de la même façon. Et là-bas, l’incongruité de cette histoire sera bien plus évidente. Pour toi comme pour moi. - Mais là, on est bien, non ? - Oui, on est bien. Je suis bien avec toi. Tu es tellement gentil, attentionné, tu me regardes tellement bien... Sache que je ne regretterai jamais ce qui s’est passé. A chaque fois j’étais pleinement consciente et consentante, je ne peux rien te reprocher. Je t’ai même guidé moi-même, parfois… - Tu m’as beaucoup appris… - Peut-être. Mais de toute façon tu n’aurais pas tardé à découvrir ça avec d’autres filles. Et j’espère que c’est ce que tu vas faire… Il faut que tu passes à autre chose, que tu oublies ces quatre jours. C’était hors du temps, entre nous, mais ça n’a pas d’avenir. - Je ne crois pas que je rencontrerai à nouveau quelqu’un comme toi. - Mais si… il y en a plein des filles, des bien plus belles que moi et plus proches de tes préoccupations. - Figure-toi que les jeunes filles qui aiment passer leur temps dans la nature et faire des randos, ça ne court pas les rues de nos jours. - Ben justement, ça sera plus facile de cibler et de trier ! Il y en a sûrement et elles aussi elles cherchent… Et dis-toi que beaucoup de femmes ne recherchent pas des hommes banals. Elles préfèrent un peu d’originalité. Et toi, tu en as. - Décidément tu as réponse à tout… tu veux vraiment que je te laisse tranquille… Une larme coule sur ma joue… - Jeannot… je ne veux pas te faire de peine… moi aussi ça va me coûter d’oublier ...
... ces quatre jours avec toi… Tu m’as fait tellement de bien… Mais je t’assure qu’on n’a pas le choix… c’est mieux comme ça… on n’arrivera pas à assumer tout ce que ça implique… Elle aussi a les yeux humides. Elle essuie une larme sur sa joue droite. - Viens. Je m’allonge et pose ma tête sur ses genoux. Elle passe ses mains dans mes cheveux, caresse mon visage… Puis elle se penche vers moi et m’embrasse sur le front, la joue. Je tourne la tête vers son ventre et m’enfonce vers son entrecuisse… je respire à fond, cherchant l’odeur de son con, pour la garder en moi, intacte, pour toujours… Je m’aventure toujours plus loin, forçant le passage entre ses cuisses… Elle ne dit rien. Elle continue à me caresser les cheveux. J’entreprends de déboutonner son pantalon... Elle pousse un long soupir… puis, à voix basse « Non Jeannot, pas ça… » Je ne l’écoute pas. Sa culotte blanche apparaît devant moi, dans l’ouverture de son pantalon. Je sens à présent pleinement l’odeur que je cherchais… ma main abaisse le tissu blanc, je plonge mon nez et ma bouche dans les poils noirs qui se dévoilent… je fouille, je m’imprègne de l’odeur qui remonte de son sexe… elle soupire… « Jeannot, arrête s’il te plaît… pas ça, pas maintenant ». Mais je ne m’arrête pas. Mes doigts, qui tiennent sa culotte baissée, s’enfoncent de plus en plus bas. Ils rencontrent bientôt l’extrémité de sa fente, où se cache son bouton d’amour. Alors que j’amorce un mouvement pour retourner ma main et épouser son entrejambe, la paume ...