Échec et mat
Datte: 25/10/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
handicap,
plage,
amour,
Oral
pénétratio,
... mon nombril, évitant soigneusement mon sexe. Elle joue avec mes nerfs. Elle dépose soudain quelques baisers sur mes testicules et prend en bouche ma hallebarde. Elle la fait coulisser entre ses lèvres ; sa langue caresse, cajole juste quelques instants trop courts me semble-t-il. Elle devine que je suis déjà au bord de l’explosion. Elle habille mon dard d’une pèlerine. Préméditation ? Elle reprend sa reptation sur moi ; je sens ses seins sur ma tige, sur mon ventre. Sa toison douce et humide caresse mes cuisses et mes bourses. J’ai un jour entendu parler de délicieux supplices : j’en subis un en ce moment. Je vois apparaître son visage souriant près du mien. Elle m’embrasse, vient chercher ma langue. — Laisse-toi faire : je gère. Je n’ai nullement l’intention de me dérober à ses caresses. Sa main glisse entre nos deux corps, attrape ma queue et la dirige vers sa caverne d’Ali Baba. Elle s’empale sur moi jusqu’à la garde. Elle respire un grand coup et pousse un râle de plaisir. Prenant appui sur mes épaules, elle se redresse et me regarde dans les yeux. Elle se mord les lèvres tandis que son ventre monte et descend lentement. Elle serre et desserre son fourreau autour de ma verge ; elle ne ferait pas mieux avec la main. Je ne sais comment elle garde l’équilibre. Que c’est bon ! Je ne reste pas inactif. Je caresse ses seins, son dos, ses hanches, là aussi où se terminent les cuisses et où commencent les fesses, là où la peau est si douce. Je donne de petits coups de reins. Je ...
... la sens frissonner sous mes doigts. Elle ferme les yeux et gémit quelques mots en russe. Elle s’affale sur mon torse tandis que moi aussi je me relâche et soupire d’aise. Pendant de longues minutes ne résonnent dans la chambre que nos souffles rauques. — Merci.— Pourquoi ? C’est toi qui as fait tout le boulot ! plaisanté-je.— Non, ce n’est pas à cause de ça… Merci de m’avoir fait sentir encore désirable.— Mais tu es désirable : tu es une GMIDD.— C’est quoi, ce truc ?— Grande Maîtresse Internationale Diablement Désirable.— Je ne connaissais pas ce classement.— Tu es une très jolie femme, très belle ici, et là. Je ponctue mes dires en lui caressant les lèvres, les seins. — Mais surtout très belle ici, et là. Je pose un doigt sur son cœur et sur son front. Elle cache son visage dans mon cou. — Je pense à toi toute la journée, même la nuit. J’ai envie de toi, mais surtout d’être avec toi. Je me fais peur parfois. Tu hantes mes pensées depuis notre première rencontre. Je murmure ces mots à son oreille. — Merci : c’est la plus jolie chose que l’on m’ait dite depuis longtemps. Je l’embrasse sur l’épaule, sur la joue. Elle me tend ses lèvres, me caresse. Sa main se pose sur ma tige qui reprend vigueur. — Connais-tu Sir Thomas Edward Lawrence ?— Non. Un joueur d’échecs ?— Idiot ! rit-elle. C’est Lawrence d’Arabie. Il a écrit un livre,Les sept piliers de la sagesse.— Et ?— Je pense que j’en tiens un, de pilier.— C’est effectivement un pilier, mais pas de sagesse. Tout en disant cela, je ...