1. Échec et mat


    Datte: 25/10/2019, Catégories: fh, fplusag, handicap, plage, amour, Oral pénétratio,

    ... vient de lui falloir une bonne dose de courage pour me le demander. Je craque. Je voulais me casser, mais elle m’attendrit, là, perdue dans son fauteuil. Je m’approche, les mains dans le dos, pour qu’elle ne les voie pas trembler. — S’il te plaît, serre-moi fort. Agenouillé près d’elle, je la prends dans mes bras et serre tant que je peux. Un poète a dit « Le temps d’apprendre à vivre, il est déjà trop tard. » Je ne voudrais pas me dire, dans quelques années « Il est trop tard et je n’ai pas aimé. » Marcelline vient de nous rejoindre. — Je ne voudrais pas déranger, mais la vioque du second va gueuler. Demain, elle va raconter que vous avez fait des galipettes dans le hall. Zanotchka se marre. — C’est une tradition russe. Il me vient des idées romantiques. Je la soulève et monte l’escalier avec elle dans mes bras, sous l’œil bienveillant de Rocky. Marcelline prend l’ascenseur avec le fauteuil. Aurais-je présumé de mes forces ? Sur le palier du second, je fais une pause. — Mon chevalier servant semble essoufflé. Les héros ne sont plus ce qu’ils étaient.— Les princesses non plus : tu n’aurais pas pris un peu de poids ces derniers temps ?— Dis que j’ai grossi, tant que tu y es ! s’insurge mon GMI.— Chhhuuuttt… murmure Marcelline d’en haut, vous êtes sur le palier de la vioque. La porte du second s’ouvre brutalement. — Je ne suis pas sourde, vous savez. Une grande femme âgée surgit sur le palier, cheveux blancs, peignoir et bigoudis, une canne à la main. Elle regarde la ...
    ... gouvernante de Zaza d’un air furax. Elle se tourne vers nous en souriant. — Continuez, mes enfants. Je suis insomniaque, alors vous entendre m’occupe l’esprit et me rappelle de doux souvenirs. Puis elle hurle de nouveau, scandant chaque syllabe en frappant le sol de sa canne : — Mais ne m’appelez plus « la vioque » ! Zanotchka rit et enfouit son visage dans mon cou. Arrivés dans l’appartement, je vais droit à la chambre et la dépose sur le lit. Je la dévêts tendrement et me désape en vitesse. Une fois nus, elle vient sur moi. La mine faussement sévère, elle déclame : — Tu es puni : je ne te regarde pas. Tu m’auras tout fait, ce soir : d’abord ta tante, et maintenant je suis devenue grosse. Effectivement, elle m’à-califourchonne et s’assied sur mon bas-ventre en me tournant le dos. Je ne suis tout de même pas déçu : j’ai une vue sublime sur ses fesses et sa chute de reins. Je ne sais pourquoi, mais elle me fait penser à Otto von Guericke** et ses hémisphères de Magdebourg. Cette vue rigidifie la meilleure partie de mon anatomie. — Tu peux me punir comme ça autant de fois que tu veux.— Ah, ça chatouille… Arrête ! Je viens de laisser traîner un doigt dans sa raie culière, histoire de vérifier si les hémisphères du vieil Otto sont bien soudés. La surprise la fait se contracter autour de mon nœud. Bien entendu je recommence, faisant fi de ses injonctions. Elle se cambre, ramène ses mains sur mes hanches ; elle cherche un peu son équilibre. Je lui tiens les poignets. — Arrête, que je… Elle ...