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AMOURS CAUSSENARDS (1)
Datte: 24/06/2017, Catégories: Zoophilie,
Malgré la beauté du site, la jeune femme se sent inquiète d’être ainsi recluse dans cet univers caussenard, perdu au milieu de nulle part. La route la plus proche est à plusieurs kilomètres d’un étroit chemin qui serpente dans la végétation méridionale. Le village est lointain. Le voisin immédiat gîte à une demi-heure de voiture. Mais la magnificence du site incite au repos. Lors de son arrivée tardive en compagnie de son nouvel ami, ils n’ont d’autre choix que de se laisser aller à un sommeil réparateur dans l’immense chambre blanchie à la chaux. Elle est située au premier étage de cette ferme typique, à peine entrevue la veille dans le faisceau des phares de la voiture. La chaleur est telle qu’ils s’endorment difficilement après s’être totalement dénudés. A son réveil, la lumière est intense à travers les volets à claire-voie. Elle est seule dans la chambre blanche. Elle tarde à se lever tout au plaisir sensuel de la fraîcheur matinale. Quand enfin elle se décide, elle s’étonne de ne plus trouver ni valise ni vêtement. Elle quitte la pièce et descend l’escalier à vis jusqu’à l’immense salle de séjour, vaguement gênée par sa nudité. Elle n’aime pas vraiment son corps massif et laiteux, aux seins lourds, son ventre légèrement arrondi. Seuls sa toison et ses cheveux blonds, ses yeux bleus et son visage poupin aux traits réguliers lui conviennent. Elle aime aussi ses fesses rebondies qui aimantent le regard des hommes. La maison semble vide et la voiture a disparu de la cour. ...
... Elle s’imagine que son ami l’a empruntée pour faire quelques courses et suit l’odeur du café et du pain grillé jusqu’à la cuisine où elle se sustente. Le temps passe sans que la demeure ne bruisse de quelque occupant. Elle la visite et n’y trouve aucune trace de ses affaires à l’exception de sa trousse de toilette soigneusement rangée dans la salle de bains. Les armoires et certaines portes sont fermées au moyen de serrures de sécurité. Elle pense immédiatement aux étonnantes habitudes de son mystérieux amant et s’imagine soumise à lui, au milieu de nulle part, sans recours ni alternative. De plus, de nombreux animaux doivent peupler les fourrés de cet aride plateau calcaire. Elle sort et visite les abords sans trouver âme qui vive. Elle imagine mille yeux avides occupés à contempler l’indécence de son corps totalement dénudé. Lorsque le désir mâtiné de crainte monte, elle s’engage sur le chemin d’accès dans l’espoir d’y trouver son ami. Ses pieds nus sont blessés par les pierres tranchantes qui le recouvrent, le soleil agresse sa peau nue et elle doit rapidement renoncer à son projet. Elle rentre et s’installe dans un profond divan ou elle s’endort à demi en position fœtale. Il est à peu près midi, lorsqu’elle est brutalement réveillée par le crissement d’un pas lourd sur le gravier de la cour. Son compagnon est de retour à pied, vêtu d’une étrange tenue paramilitaire, équipé d’un lourd sac à dos rempli de victuailles. Il la contemple d’un œil égrillard mais, quand elle fait ...