1. AMOURS CAUSSENARDS (1)


    Datte: 24/06/2017, Catégories: Zoophilie,

    ... mine de lui adresser la parole, il l’ignore et se rue dans la cuisine pour décharger son sac. Lorsqu’elle lui réclame ses vêtements, il lui affirme qu’elle devra désormais s’en passer et lui intime l’ordre de préparer le repas. Alors qu’elle s’essaie à lui résister, il la saisit à la taille et plaque son torse sur la table de la cuisine, pieds au sol, jambes écartées et fesses offertes. De son doigt enduit de saindoux pris dans un pot tout proche, il lui caresse la raie culière puis la pénètre d’un puis deux de ses gros doigts. Elle se sent humiliée et pourtant terriblement excitée. Lorsqu’elle commence à se tortiller, il baisse son pantalon et la sodomise sans ménagement. Elle grimace de douleur. Il la bâillonne de sa main et continue son ouvrage. Dans un premier temps, le corps de celle-ci se révolte contre l’agression. Puis ses sensations changent, ses sens s’échauffement, son cul s’offre et tout son être se soumet au point que son bourreau allège son étreinte. Lorsqu’il place ses mains à l’entrejambe de sa victime et entame une caresse tonique sur son sexe, son ventre se décontracte et ses fesses se détendent. Le plaisir monte en elle. Elle sent enfin son ventre agité de spasmes et de longs jets chauds emplissent son colon. Elle ne peut retenir un cri de plaisir. Lorsqu’il sort de ses fesses, elle est au comble de la honte. Son étonnante jouissance, dont le masochisme s’explique difficilement, la met terriblement mal à l’aise. Elle n’ose regarder son agresseur et se ...
    ... précipite ainsi, nue et souillée, pour préparer le repas du midi. Celui-ci terminé, il la traite de « souillon » et lui impose un débarbouillage un peu particulier dans la baignoire. En effet, au jet brutal de la douche succèdent mille caresses intrusives au cours desquels ses orifices sont brutalement pénétrés par les doigts et le sexe du garçon. Encore une fois, à la répulsion succède le plaisir et au plaisir la honte. À l’heure de la sieste, il lui lie mains et jambes écartelées au montant du lit, la fouette doucement sur les seins et l’entrecuisse d’une badine de genévrier. Elle se tord d’un mélange de douleur et de plaisir. Après quelques minutes, il se lasse et s’endort à ses côtés du sommeil du juste. Elle somnole la tête peuplée d’images tantôt jouissives, tantôt cauchemardesques. Les jours se suivent en apportant leur lot de honte et de plaisirs coupables. Elle ne peut se vêtir et ne connaît de repos que lorsqu’il quitte la maison. À ces moments-là elle est trop fatiguée pour tenter de s’enfuir et s’effondre d’un sommeil tourmenté. Elle ne voit plus de solution à son esclavage. Plus les jours avancent, plus il s’enhardit. Les tortures deviennent raffinées sans jamais laisser de traces et sont immédiatement suivies d’un de ces étonnants moments de plaisir intense. Désormais il filme leurs ébats dans le but de les vendre à des sites pornographiques. Du coup, son imagination n’a plus de limites et le corps de son amante est martyrisé sans vergogne. Sa gorge est envahie de ...