Le Radiateur (2)
Datte: 27/10/2019,
Catégories:
Hétéro
... posant son autre main derrière sa tête à caresser ses cheveux, et me regardait avec profondeur : « … tu n’es pas d’accord ? » Les choses commencèrent à aller très vite ; comme je l’ai dit, Éliane n’avait rien d’une affamée ni d’une « collectionneuse » d’hommes, surtout en connaissant son passé… Pourtant l’appel était clair, quoiqu’un peu grossier dans les formes. Le fait que ça aille aussi vite me prenait de court. J’avais faim, cruellement faim de corps et d’elle, je n’avais plus qu’à la saisir mais sans savoir pourquoi, une barrière me retenait. Prends cette femme, Julien ! Elle le veut et tu ne tiens plus en place ! Puis le coup de grâce : Éliane sortit de son décolleté une pochette de préservatif, sans un mot, avant de la faire jouer dans ses doigts devant moi avec un grand sourire. C’en était trop. Je n’avais pas baisé pendant deux ans, l’évidence était maintenant totale… et en plus on avait une capote ! Mes bras étreignirent Éliane vigoureusement et je l’embrassai de toute ma bouche. Il faisait maintenant très chaud dans la pièce, et ce n’était pas dû au chauffage. La jeune femme ne résistait pas, bien au contraire ! Elle prenait un certain nombre d’initiatives. En manque, elle aussi ? Quoi qu’il en soit, ce ne fut pas moi qui retirais ma chemise du pantalon, pas moi qui mis ma tête dans son décolleté, et pas ma main qui caressait ma braguette. La coquine, elle cachait bien son jeu ! Nous arrêtâmes un instant notre fougue pour nous regarder. Je lisais dans ses yeux ...
... un hurlant « Fais-moi l’amour ». Ma main prit son sein droit avec une tendre excitation, avant de refaire un baiser. Éliane se leva en me tirant par la main, je la suivis sans résistance jusques à sa chambre. Elle en ferma les rideaux pour ne pas être vus des voisins de cour. En attendant, j’avais enlevé mes chaussures et chaussettes avant d’entrer dans son lit plein de coussins de velours colorés. Elle me rejoignit rapidement avant de s’allonger progressivement sur mon torse, donnant quelques baisers dans mon cou. D’un mouvement sûr, ma nouvelle partenaire m’enleva mon pull et déboutonnait ma chemise. Oh oui, ça lui avait manqué aussi ! Ou alors je m’ignorais un sex-appeal particulier. Vu qu’elle ne traînait pas à me déshabiller, je me dis qu’il ne serait pas réellement malvenu de faire de même. Après son pull, je déboutonnai son beau chemisier blanc avec une heureuse aisance, et la voilà en soutien-gorge en un rien de temps. Éliane était maintenant bien à cheval sur moi, avec des yeux de feu, remettant une mèche de cheveux derrière l’oreille. Mes paumes passaient sur sa taille et ses côtes, effleurant sa très douce peau. La belle femme frémit à cette caresse, ou peut-être aussi du fait de la température ambiante alors qu’elle était presque nue. Par contre j’avais mal. Mon érection était telle que, prisonnière dans mon pantalon plutôt serré à la coupe, elle en devenait douloureuse. Poliment, je demandai à Éliane de se pousser pour que je puisse enfin le retirer. Mais elle ...