1. Le Radiateur (2)


    Datte: 27/10/2019, Catégories: Hétéro

    ... d’être un puceau à sa première fois, la découverte en moins : ce n’était pas une sensation vraiment très agréable, contrairement à l’époque… Ça y est, ma partenaire commença à lentement monter et descendre, en se penchant sur moi pour me donner un baiser en même temps. Je la pris par les hanches, très concentré à ne pas éjaculer, en la laissant bouger un instant. Je me sentais léger, ailleurs, et c’était plaisant de retrouver ces sensations presque oubliées. Le préservatif n’existait plus, j’avais l’impression d’être à nu. Le plaisir était même un peu trop là. — Éliane… ouh ! Je te le redis : j’ai pas… ah ! couché depuis deux ans… Gnh… J’ai peur de partir trop vite. — Je sais, fit-elle avec bienveillance. maqmwwgc La belle femme n’accéléra pas sa cadence pour éviter de trop me stimuler. Pendant un instant, nous nous arrêtâmes et je demandai si je pouvais faire les mouvements, à mon rythme. Éliane d’accord, mes mains prirent ses fesses et j’engageai doucement mon bassin dans des va-et-vient délicats. C’était bon pour nous deux, ça faisait du bien de s’enfoncer sans précipitation et de prendre le temps de se sentir. Les mains d’Éliane me caressaient le visage pendant ce temps. Elle me regardait… d’yeux intenses qui laissaient transparaître son exact état d’esprit : ça lui plaisait, et plus globalement elle éprouvait une grande affection pour moi sans qu’il y ait de réels sentiments amoureux. Je n’étais pas un plan cul improvisé ; que l’on ne me demande pas comment, mais en deux ...
    ... rencontres j’étais devenu un véritable ami de lit. Peut-être même un ami tout court. Et bien sûr, même chose de mon côté. Toutes mes précautions ne suffirent pas à me retenir ; ce fut très prompt, je sentis que ça montait très vite et, en appelant Éliane, je lui donnai de vigoureux coups de reins claquants avant de me laisser déverser. Faut-il préciser l’orgasme fabuleux qui en résulta ? J’étais hors de moi, sur un petit nuage. Nous ne bougeâmes pas, ma verge encore assez raide dans le généreux vagin, tandis que je reprenais mon souffle et mes esprits. Ah, c’était génial d’avoir enfin refait l’amour ; ça faisait du bien au corps, à l’esprit et à l’ego, mais le fait de ne pas avoir été très endurant s’avéra quelque peu dommage. Éliane m’assura que ce n’était pas grave et qu’il avait été plus correct de l’avoir prévenue, afin qu’elle ne mette pas ses attentes trop haut. Nous étions à présent étendus côte à côte, sous la couette, à nous caresser les bras en nous regardant. — Tu es très belle, tu sais ? — Merci, répondit-elle flattée. Toi aussi tu me plais beaucoup. Physiquement, je veux dire. Un peu intrigué par ce dernier ajout, je lui demandai de développer ce qu’elle entendait par-là : Éliane m’assura que ce n’était pas que mon corps qui l’attirait, ma mentalité n’était pas en reste, mais que c’était majoritairement une relation physique qu’elle éprouvait. — En gros, je suis un ami. C’est bien ça ? — Voilà. Un ami « privilégié ». Je ne couche pas avec tous mes potes, loin de ...